Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples... Histoire de la philosophie cartésienne - Page 33by Francisque Bouillier - 1854 - 660 pagesFull view - About this book
| Christian Bartholmèss - 1847 - 452 pages
...d'établir les principes de sa méthode. Quant à la seconde vègle de Descartes, qui est ainsi conçue : «Diviser chacune des -difficultés que j'examinerais...se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résout! re,» elle semble être contenue dans la troisième de Bruno, qui regarde en général les... | |
| Louis-Auguste Javary - Belief and doubt - 1847 - 590 pages
...assurer de ne rien omettre ; il se proposait aussi de diciier chacune des difficultés qu'il examinerait en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre ; la connaissance de ces règles excellentes ne l'empêcha pas de faire consister l'essence du corps... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - Authors, French - 1848 - 540 pages
...et si distinctement à mou esprit , que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais..., et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et... | |
| Jean Pierre Cros-Mayrevieille - History - 1848 - 410 pages
...sciences symphysiques. Le second était de diviser chacune des difficultés qu'il examinait en autant do parcelles qu'il se pourrait, et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Ce second précepte est relatif à la division des parties laquelle est en effet nécessaire en toute... | |
| René Descartes - Filosofia - 1850 - 700 pages
...et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais...pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et... | |
| Pierre Léon Lezaud - 1851 - 330 pages
...si distinctement à mon esprit , que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute ; Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais...pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre ; Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets lès plus simples... | |
| Guillaume-Anne Patru - Science - 1851 - 132 pages
...la troisième règle, mais imparfaitement, du Traité que nous avons analysé. « Le second était de diviser chacune des difficultés que j'examinerais...pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. » Ce précepte nous rappelle que Descartes étudiait souvent les sciences par questions plutôt que... | |
| P. L. Lezaud - 1851 - 312 pages
...et si distinctement à mon esprit , que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute; Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais...pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre ; Le troisième, de conduire par ordre mes pensées , en commençant par les objets les plus simples... | |
| 1853 - 952 pages
...n'eût aucune occasion de le mettre en doute; 2° de diviser chacune des difficultés qu'il examinerait en autant de parcelles qu'il se pourrait, et qu'il serait requis pour les mieux résoudre; 2° de conduire par ordre ses pensées , en commençant par les objets les plus simples, et les plus... | |
| Bio-bibliography - 1855 - 988 pages
...n'eusse aucune occasion de le mettre en doute; ?.° de diviser chacune des difficultés quej'examinerois en autant de parcelles qu'il se pourrait, et qu'il...résoudre; 3° de conduire par ordre mes pensées, ïn commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connottre, pour monter peu à... | |
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