| Perse - 1841 - 362 pages
...tout. < En l'amitié de quoy je parle , elles (nos âmes) se meslent et se confondent l'une en l'autre, d'un meslange si universel , qu'elles effacent et ne retrouvent plus la cousture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoy je l'aymois, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en respondant... | |
| Michel de Montaigne - 1842 - 862 pages
...âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoy je parle, elles se meslent et confondent l'une en Paultre d'un meslange si universel qu'elles effacent et ne...les a joinctes. Si on me presse de dire pourquoy je Paymoys, je sens que cela ne se peult exprimer qu'en respondaiit : » Parce que c'estoit luy ; parce... | |
| Michel de Montaigne - French essays - 1844 - 920 pages
...C'est-à-dire , d'une espcce d'omitic plus juste et plus égale que celle dont il vient de parler. C. •meslange si universel , qu'elles effacent et ne retrouvent plus la cousture qui les a ioinctes. Si an me presse de dire pourquoy ie l'aymoys, ie sens que cela ne se penlt exprimer qu'en... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...occasion ou commodité, par le moyen de laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoy je parle, elles se meslent et confondent l'une en l'aultre...dire pourquoy je l'aymoys , je sens que cela ne se peult exprimer qu'en respondant, « Parce que c'estoit iuy; parce que c' estait moy. » II ya, au delà... | |
| Henri Fonfrède - 1846 - 396 pages
...s'entretiennent. En l'amitié de quoi je parle, elles se » meslent et se confondent Tune et l'autre d'un meslange » si universel, qu'elles effacent et ne retrouvent plus la » cousture qui les a jointes. Si on me presse de dire pour» quoi je 1 aimais, je sens que cela ne se peut exprimer » qu'en... | |
| Ed Mennechet - European literature - 1846 - 514 pages
...confondent l'une en l'autre, d'un meslangc si universel, qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a joinctes. Si on me presse de dire pourquoy je l'aimoys, je sens que cela ne se peult exprimer qu'en respondanl : parceque c'estoit luy, parceque... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 pages
...throsne royal? XIX. MONTAIGNE (XVI* SIÈCLE). En l'amitié de quoy ie parle, elles (/î•* âmt») se meslent et confondent l'une en l'aultre d'un meslange si universel, qu'elles effacent et ne retrouvant plus la cousture qui les a ioincles. Si ou me presse de dire pourquoy je l'aymoys (La Boëtie),... | |
| D. Saucié - French literature - 1851 - 486 pages
...seule peut rompre. L'âme de Montaigne semblait s'être concentrée lout entière dans ce sentiment. « Si on me presse de dire pourquoy je l'aymoys, je sens que cela ne se peult exprimer qu'en répondant, « parce que c'estoit luy ; parce que c'estoit moy. » Il va, au delà... | |
| Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoy je parle, elles se meslent et confondent l'une en l'autre d'un meslange si universel, qu'elles effacent et ne...dire pourquoy je l'aymoys, je sens que cela ne se peult exprimer qu'en respondant : « Parce que c 'estoit luy, parce que c'estoit moy. » ll ya, au... | |
| Michel de Montaigne, Estienne de La Boétie - French essays - 1854 - 508 pages
...la maturité de l'âge et de l'esprit. Cic., 'de Amicit,, c. 20. tiennent. En l'amitié de quoy ie parle, elles se meslent et confondent l'une en l'aultre...effacent et ne retrouvent plus la cousture qui les a ioinctes. Si on me presse de dire pourquoy ie l'aymoys , ie sens que cela ne se peult exprimer qu'en... | |
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