Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si... L'Université catholique - Page 4201844Full view - About this book
| Joseph Grasset - Science - 1918 - 218 pages
...nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et, remarquant que cette vérité je pensé, donc je suis était si ferme et si assurée que toutes...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de là philosophie que... | |
| René Descartes, Étienne Gilson - Science - 1925 - 530 pages
...penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je...que toutes les plus extravagantes suppositions des 20 Sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule,... | |
| Léon Noël - Knowledge, Theory of - 1925 - 262 pages
...« au rouet » ou bien « à reculons jusqu'à l'infini ». rioure à tout doute quelconque, et « si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques ne soient pas capables de l'ébranler ». Or il lui faut pour cela une position où toute question... | |
| Université de Strasbourg. Faculté des lettres - 1928 - 330 pages
...penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité « Je pense donc je...Sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je... | |
| René Descartes, Etienne Gilson - Philosophy - 1984 - 148 pages
...penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je...suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de rébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie,... | |
| Pierre Alain Cahné - Philosophy - 1980 - 356 pages
...du sentiment d'assurance : la certitude est alors en vue, comme nom cartésien de la vérité. « Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler... » (AT VI, 32.) Nous pouvons commencer d'établir la chaîne dont nous avons détaillé les maillons,... | |
| Georg Wilhelm Friedrich Hegel - Philosophy - 1985 - 584 pages
...penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je...Sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la Philosophie, que... | |
| Pierre Faucon de Boylesve - Ontology - 1985 - 448 pages
...son propre fondement, la philosophie (8) Descartes, Discours de la méthode , Quatrième Partie : "Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je...suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l' ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie,... | |
| Felix Atance, University of Western Ontario - History - 1986 - 152 pages
...affirmer dans la quatrième partie du Discours de la méthode: « Et remarquant que cette vérité: ;e pense, donc je suis, était si ferme et si assurée,...extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capa19. Voir Descartes, Discours de la méthode, 170. 20. Voir Sextus Empiricus, Les Esquisses Pyrrhoniennes,... | |
| Henri Gouhier - 1986 - 272 pages
...non, un mot du Discours, Descartes y présentant « je pense donc je suis » comme une vérité « si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions...Sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler» (67). Mais lorsqu'il s'oppose aux mêmes extravagances, il ne faut pas lire Pascal comme on lit Descartes.... | |
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