Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si... L'Université catholique - Page 4201844Full view - About this book
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1863 - 108 pages
...faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose; et remarquant que celte vérité, je pense, donc je suis, était si ferme...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je... | |
| René Descartes - 1864 - 482 pages
...penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité, Je pense, donc je suis,...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je... | |
| Louis François Jéhan - Philosophy - 1864 - 668 pages
...que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais, je fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité: je pense, donc je suis, était si ferme <U si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables... | |
| René Descartes - Philosophy - 1865 - 466 pages
...le pensois fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, étoit si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'ctoient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour le premier... | |
| J. Millet - Philosophy, Modern - 1867 - 542 pages
...était faux, il fallait nécessairement que. » moi , qui le pensais , fusse quelque chose ; et , » remarquant que cette vérité , je pense , donc je...» plus extravagantes suppositions des sceptiques (1) V. OEuvr., XI, pp. 212 et 274. (2) V. Disc., partie IV, OEuvr., I, 157, sq. Cf. les 2 prem. »... | |
| J. Millet - Philosophy, Modern - 1867 - 540 pages
...était faux, il fallait nécessairement que » moi , qui le pensais , fusse quelque chose ; et , » remarquant que cette vérité , je pense , donc je...» plus extravagantes suppositions des sceptiques (I)V. OEuvr., XI, pp. 212 et 274. (2) V. Disc., parlic IV, OEuvr., I, 157, sq. Cf. les 2 prem. médit.... | |
| Christianity and literature - 1874 - 834 pages
...faux, il fallait nécessairement que naoi qui Ie pensais fusse quelque chose; et remarquant quecette vérité: je pense, donc je suis était si ferme et...extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capabies de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour Ie premier principe... | |
| Pierre Carbonel - Philosophy - 1876 - 858 pages
...penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je...suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranlcr, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie... | |
| Philosophy - 1883 - 720 pages
...qu'il pense. Mais il est, s'il pense, de sorte que « cette vérité : Je pense, donc je suis, est si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques ne sont pas capables de l'ébranler 2. » Et Descartes donne partout le Je pense, donc je suis, comme... | |
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1877 - 400 pages
...sommes, nous savons ce que nous sommes, et nous aimons cet être et cette science, qui est en nous; 36 si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de laphilosophiequeje cherchais... | |
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