Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si... L'Université catholique - Page 4201844Full view - About this book
| Alfred Lorquet - Philosophy - 1847 - 424 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité, je pense, donc je KUÏS , était si ferme et si assurée, que toutes les plus...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler , je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que... | |
| René Descartes - Filosofia - 1850 - 700 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : le pense, donc je svis^ était si ferme et si assurée que toutes les "plus...extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas canables de l'ébrauler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe... | |
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - France - 1850 - 790 pages
...pensois je fusse quelque chose, et remarquant que cette vérité : cJe pense, donc je suis, estoit si ferme et si assurée, que toutes les plus « extravagantes suppositions des sceptiques n'estoient pas capables de «l'esbranler, je jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour «... | |
| Jaime Luciano Balmes - 1852 - 934 pages
...fallait nécessairement penser que moi, « qui le pensais, fusse quelque chose, et, remarquant que a cette vérité : Je pense, donc je suis, était si...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai « que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier « principe de la philosophie... | |
| Jaime Balmes - Philosophy - 1852 - 342 pages
...que moi , qui le pensais, »je fusse quelque chose, et , remarquant que celte vérité : Je pense, i donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus extra> vagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de » l'ébranler, je jugeai que... | |
| Otto Duesberg - 1858 - 330 pages
...que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais, je fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité : Je pense, donc je...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je... | |
| Henri-Léonard Bordier, Édouard Charton - Art - 1860 - 620 pages
...qui le pensois fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité : Je pense, donc je suis, étoit si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étoient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour le... | |
| Adolphe Mazure - 1861 - 376 pages
...le pensois, fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité : Je pense, donc je suis, étoit si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques (de ceux qui professent le doute) n'étoient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois... | |
| Henri Léonard Bordier, Édouard Charton - France - 1862 - 624 pages
...le pensois fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : Je pense, donc je suis, étoit si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques ii'eloient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour le... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - Authors, French - 1862 - 586 pages
...le célèbre axiome de Descartes. « Remarquant que cette vérité : Je pense, donc je suis, étoit si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étoient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois la donc je vous aime; ie pense uniquement... | |
| |