| Virgil - 1819 - 310 pages
...violent, comme on le voit dans ces paroles de Phèdre, qui sont la paraphrase du vers de Virgile : Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue : Un trouble s'eleva dans mon âme éperdue ; Mes jeux ne voyaient plus,- je ne pouvais parler, le sentis tout mon... | |
| 1824 - 446 pages
...approcher de tes bords dangereux ! PBÈD RE. Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d'rgée Sous les lois de l'hymen je m'étois engagée, Mon repos,...trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne vovoient plus, je ne pouvois parler : Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus,... | |
| Jean-François de La Harpe - Bible - 1821 - 594 pages
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos, mon bonheur, semblait être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi...trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Voilà la peinture... | |
| French drama - 1821 - 408 pages
...peine au fils d'Ége"e Sous les lois de l'hymen je m'étois engagée, Mon repos , mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi...je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue J Mes yeux ne voy oient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Jean Racine - French drama - 1822 - 564 pages
...approcher de tes bords dangereux ! PHÈDRE. Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étois engagée, Mon repos,...être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi ' : sort de sa famille ; et cependant chaque crime qu'elle rappelle diminue l'horreur du sien. Ce n'est... | |
| L. J. M. Carpentier - French language - 1822 - 1216 pages
...troublé , saisi, surpris, étonné, eti'ravé , épouvanté, consterné , abattu, découragé , égaré. Je le vis , je rougis . je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. . RACINE , Phèdre , act. I , se. 3. Mais il me faut le perdre après l'avoir perdu;... | |
| Authors - 1824 - 490 pages
...amplification fatigante, si c'était une autre qui parlât de la passion de Phèdre. ( Acte I, Se. 3. ) Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis...je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Jean-François de La Harpe - Bible - 1825 - 552 pages
...peine au fils d'Egée .Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos , mon bonheur, semblait être affermi : Athènes me montra mon superbe ennemi....trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Voilà la peinture... | |
| Pierre-François Tissot - 1825 - 652 pages
...des convenances, même dans une scène où l» passion franchit toutes les bornes , exigeait qu'OE' Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je p&lisà sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme eperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais... | |
| Voltaire - Philosophy - 1827 - 726 pages
...images : alors l'auteur dit précisément les mêmes choses que dirait la personne qu'il introduit : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. RACINE, Phèdre, act. I, se. ni. L'imagination alors ardente et... | |
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