| Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pages
...et mes yeux, suppléoient aux mouvements internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde, dont la surface... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 482 pages
...et mes yeux, suppléoient aux mouvements internes que la rêverie éteignoit en moi , et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde, dont la surface... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 388 pages
...mes yeux, suppléoient aux mouve«ments internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffi« soient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, «sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit «quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des « choses de ce monde, dont la... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 370 pages
...renflé par intervalle, frappant sans relâche mon » oreille et mes yeux, suppléaient aux mouve» mens internes que la rêverie éteignait en moi , » et...De temps à autre naissait quelque faible et courte i» réflexion sur l'instabilité des choses du monde , » dont la surface des eaux m'offrait l'image... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - English literature - 1836 - 420 pages
...par » intervalle, frappant sans relâche mon oreille • et mes yeux, suppléaient aux mouvemens » internes que la rêverie éteignait en moi , et »...plaisir » mon existence , sans prendre la peine de pen» ser. De temps à autre naissait quelque faible « et courte réflexion sur l'instabilité des... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...et mes yeux, suppléoient aux mouvemens internes que la rêverie éteignoit en moi , et suflisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence , sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courle réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde , dont la surface... | |
| François-René de Chateaubriand - 1836 - 392 pages
...renflé par intervalle, frappant " sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux " mouvemens internes que la rêverie éteignait en moi, " et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon exis" tence, sans prendre la peine de penser. De temps à " autre naissait quelque faible et courte... | |
| François-René de Chateaubriand - 1837 - 382 pages
...renflé par intervalle, frappant sans relâche mon » oreille et mes yeux , suppléaient aux mouve» mens internes que la rêverie éteignait en moi , » et...courte » réflexion sur l'instabilité des choses du monde, » dont la surface des eaux m'offrait l'image : mais » bientôt ces impressions légères... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 424 pages
...par intervalle, frappant sans relâche mon » oreille et mes yeux, suppléaient aux mouve— » mens internes que la rêverie éteignait en moi , » et...courte » réflexion sur l'instabilité des choses du monde , » dont la surface des eaux m'offrait l'image : mais » bientôt ces impressions légères... | |
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