| Jean de La Fontaine - Fables - 1888 - 442 pages
...me dedaigne pas ; viens-t'en loger chez moi i Tu n'y seras pas sans emploi : J'aime le jeu, 1'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soil souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un coeur melancolique. Viens done .... The characteristic... | |
| Émile Faguet - French literature - 1888 - 496 pages
...Ne me dédaigne pas ; viens-t'en loger chez moi, Tu n'y seras pas sans emploi.... Et plus loin : II n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'aux sombres plaisirs d'un cœur mélancolique... Ce caractère était particulier à cette époque. Pour peu que La Fontaine eût été d'humeur susceptible... | |
| Jean de La Fontaine - 1892 - 536 pages
...voir, et partir matin, afin d'avoir le loisir de se promener après qu'ils auroient entendu les avenLa ville et la campagne, enfin tout; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique. i. L'épithète de « tendre s, d' « élégiaque... | |
| Émile Faguet - French literature - 1892 - 328 pages
...Grèce, Ne me dédaigne pas ; viens-t'en loger chez moi, Tu n'y seras pas sans emploi. . . Et plus loin : Il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'aux sombres plaisirs d'un cœur mélancolique... à Rousseau. Mais il avait un fond de bonté confiante qui le fit au contraire rechercher. On l'aima... | |
| Paul Albert - French literature - 1892 - 484 pages
...caresse et repart. J'aime le jeu, les vers, les livres, la musique, La ville, la campagne, enfin lout. Il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'aux sombres plaisirs d'un cœur mélancolique. Même variété dans ses lectures. Il se croit bonnement du parti des anciens, parce qu'il goûte Térence... | |
| Jean de La Fontaine - 1892 - 542 pages
...jadis maîtresse Du plus bel esprit1 de la Grèce, Ne me dédaigne pas, viens-t'en loger chez moi ; Tu n'y seras pas sans emploi : J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique1, La ville et la campagne, enfin tout; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au... | |
| Louis Petit de Julleville - French literature - 1893 - 310 pages
...sons, des beaux jours. Le même accent d'universelle sympathie résonne aux derniers vers de Psyché : J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La...tout; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien ; Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique. Ce dernier trait nous surprend ; car notre siècle... | |
| Émile Faguet - French literature - 1893 - 504 pages
...Grèce, Ne me dédaigne pas ; viens-t'en loger chez moi, Tu n'y seras pas sans emploi.... Et plus loin : Il n'est rien .Qui ne me soit souverain bien,- . Jusqu'aux sombres plaisirs d'un cœur mélancolique... Ce caractère était particulier à cette époque. Pour peu que La Fontaine eût été d'humeur susceptible... | |
| Émile Faguet - French literature - 1893 - 504 pages
...Ne me dédaigne pas; viens-t'en loger chez moi, '. Tu n'y seras pas sans emploi.... Et plus loin : Il n'est rien -Qui ne me soit souverain bien,. . Jusqu'aux sombres plaisirs d'un cœur mélancolique... Ce caractère était particulier à cette époque. Pour peu que La Fontaine eût été d'humeur susceptible... | |
| Félix Hémon - French literature - 1893 - 634 pages
...parole pour son propre comple, et trace de nouveau son portrait dans une invocation à la Volupté : J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, entin tout : il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.... | |
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