| Société d'émulation de Montbéliard - Doubs (France : Dept.) - 1914 - 314 pages
...lieu de m'égayer, m'attristait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
| Gustave Guillaume - French language - 1919 - 356 pages
...une eau bourbeuse, et charriait avec bruit du limon, du sable et des pierres (Rouss., Hél., IV, 17). Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune , rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses (Ib.). Oswald se réveilla dans... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1920 - 244 pages
...de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations, la présence même de cet objet chéri, rien ne put détourner de mon cœur mille 5 réflexions douloureuses." Je commençai par me rappeler une promenade... | |
| Paul Morillot - French fiction - 1921 - 372 pages
...de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations, la présence même de cet objet chéri, rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses. Je commençai par me rappeler une promenade... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1921 - 420 pages
...lieu de m'égayer, m'attristait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
| Edmond Estève, E. Guirand - French literature - 1922 - 440 pages
...lieu de m'égayer m'attristait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
| Edward Hinman Sirich, Francis Brown Barton - French literature - 1923 - 494 pages
...lieu de m'égayer m'attristait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le 25 frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1923 - 436 pages
...lieu de m'égayer m'attristait. Peu i peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, lé frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
| Anatole France - 1931 - 414 pages
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