 | Gustave Merlet - French literature - 1894
...beauté, ta beauté même aura son terme.... Le bruit égal et mesuré des rames m'excitait à rêver.... Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
 | Gustave Merlet - French literature - 1894 - 1220 pages
...beauté, ta beauté même aura son terme.... Le bruit égal et mesuré des rames m'excitait à rêver.... Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
 | André Le Breton - French fiction - 1898 - 396 pages
...de m'égayer, m'attristait. Peu à peu, je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
 | Gustave Merlet - French literature - 1900
...de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations, la présence même de cet objet chéri, rien ne peut détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses « C'en est fait, disais-je en moi-même,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1905 - 396 pages
...lieu de m'égayer, m'attristait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous1, le concours des plus agréables sensations,... | |
 | Erich Rundstroem - Nature in literature - 1907 - 106 pages
...au lieu de m'egayer m'attristait. Peu ä peu je sentis augmenter la melancolie dont j'etais accable. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argente dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
 | Gaspard Vallette - 1911 - 454 pages
...de m'égayer, m'attristait. Peu à peu, je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1913
...lieu de m'égayer m'attristait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1920 - 70 pages
...de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations, la présence même de cet objet chéri, rien ne put détourner de mon cœur mille 5 réflexions douloureuses." Je commençai par me rappeler une promenade... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1921 - 382 pages
...lieu de m'égayer, m'attristait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
| |