 | Académie de Mâcon. Société des arts, sciences, belles-lettres, et agriculture de Saône-et-Loire - Science - 1900
...des rames m'excitait à rêver. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont i. Cf. Paul Janet, Lamartine, Journal des Savants, mars 1895, et Emile... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1856
...lieu de m'égayer m'attristoit. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étois accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brilloit autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
 | Jean Félix Nourrisson - Catholic Church and philosophy - 1860 - 370 pages
...fraîcheur de l'air, les rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations, la présence même de cet objet chéri, rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses '... » Erudite et vibrante, langoureuse... | |
 | Marc Viridet - Authors, French - 1861 - 183 pages
...paisible. Je gardais un profond silence. Le bruit égal et mesuré des rames m'excitait à rêver. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, tout me remplissait des plus douces sensations.... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1863
...lieu de m'égayer m'attristoit. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étois accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brilloit autour de nous , le concours des plus agréables sensations... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1865
...lieu de m'égayer m'attristoit. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étois accablé. Un ciel serein , la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dunt l'eau brilloit autour de nous, le concours des plus agréables sensalions... | |
 | France - 1870
...des rames m'excitait à rêver. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, rien ne put débarrasser mon cœur de mille... | |
 | Charles de Mazade, Charles de Mazade-Percin - 1872 - 207 pages
...des rames m'excitait à rêver. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, rien ne put débarasser mon cœur de mille... | |
 | Louis Ducros - 1888 - 238 pages
...lieu de m'égayer, m'attrislait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, le concours des plus agréables sensations,... | |
 | Émile Auguste Étienne Martin Deschanel - 1893 - 332 pages
...des rames m'excitait à rêver. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de nous, rien ne put débarrasser mon cœur de mille... | |
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Le chant assez gai des bécassines, me retraçant les plaisirs d'un autre âge, au lieu de m'égayer, m'attristait. Peu à peu je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablé. Un ciel serein, la fraîcheur de l'air, les doux rayons de la lune,... 
