| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 414 pages
...seulement que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentois dans tout mon être un calme ravissant, auquel chaque fois que je me le rappelle, je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. On me demanda où je demeurois; il me fut impossible de le dire. Je demandai où j'étois;... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 482 pages
...seulement que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentois dans tout mon être un calme ravissant , auquel , chaque fois que je me le rappelle , je ne...trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. On me demanda où je demeurois; il me fut impossible de le dire. Je demandai où j'élois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...seulement que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentois dans tout mon être un calme ravissant , auquel , chaque fois que je me le rappelle, je ne...trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. On me demanda où je demeurais; il me fut impossible de le dire. Je demandai où j'étois... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...songer que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentais dans tout mon être un calme ravissant, auquel , chaque fois que je me le rappelle, je ne...trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. On me demanda où je demeurais ; il me fut impossible de le dire. Je demandai où... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...seulement que ce sang m'appartint en aucune sorte. Je sentois dans tout mon être un calme ravissant, auquel, chaque fois que je me le rappelle, je ne trouve rien de comparable dans toute l'aclivilé des plaisirs connus. On me demanda où je demeurois ; il nie fut impossible de le dire... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...seulement que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentais dans tout mon être un calme ravissant, auquel, chaque fois que je me le rappelle, je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. On me demanda où je demeurais ; il me fut impossible de le dire. Je demandai où... | |
| Eugène Noël - 1878 - 376 pages
...seulement que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentais dans tout mon être un calme ravissant, auquel, chaque fois que je me le rappelle, je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. • u On me demanda où je demeurais ; il me fut impossible de le dire. Je demandai... | |
| Philosophy - 1899 - 694 pages
...seulement qne ce timfi m'appa'-tint en aucune sorte. Je sentais dans tout mon être un calme ravissant auquel, chaque fois que je me le rappelle, je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. » La commotion cérébrale ressentie par Montaigne ayant été plus forte, il semble... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1913 - 330 pages
...seulement que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentais dans tout mon être un calme ravissant, auquel, chaque fois que je me le rappelle, je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. On me demanda où je demeurais ; il me fut impossible de le dire. Je demandai où... | |
| Victor Margueritte - Authors, French - 1926 - 302 pages
...sans songer que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentais dans mon être un calme ravissant, auquel chaque fois que je me le rappelle, je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. » Cette admirable page, — dont Tolstoï s'est souvenu, dans la Guerre et la Paix,... | |
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