Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables... Fables - Page 24by Jean de La Fontaine - 1829Full view - About this book
| Théodore Lorin - 1852 - 336 pages
...CEuv., p. 271, r». Consultez la note de feu Ch. Nodier sur cette fable de La Fontaine. PLIER , va et n. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas Liv. I, fab. 22. M. Napoléon Landais prétend que La Fontaine aurait peutêtre dû dire ployer. Il... | |
| A. Roche - 1853 - 720 pages
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords du royaume du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre...», Résisté sans courber le dos; Mais attendons la un. » Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - French literature - 1856 - 488 pages
...défendrais de l'orage. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre...redoutables ; Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre3 leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il... | |
| Charles Augustin Henry - 1856 - 1008 pages
...principe : c'était au chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit est sec , et même menaçant : Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie ; el ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1857 - 394 pages
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion,...sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût... | |
| Antonio Bergnes de las Casas - 1857 - 500 pages
...souvent Sur les humides bords des royaumes du veut. La nature envers vous me semble bien injuste. Voire compassion , lui répondit l'arbuste, Part d'un bon...qu'à vous redoutables : Je plie et ne romps pas. Vous-avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons... | |
| C Lombard de Luc - 1858 - 152 pages
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion,...sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût... | |
| Charles Bigot - 1858 - 340 pages
...défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords du royaume du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion,...souci , Les vents me sont moins qu'à vous redoutables , .(e plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber... | |
| Jean de La Fontaine - 1859 - 572 pages
...de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. '• La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion...sans courber le dos; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût... | |
| abbé Rabion - French poetry - 1859 - 410 pages
...défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent ; La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion,...sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût... | |
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