| Louis Arnould - Happiness - 1917 - 380 pages
...quer à son instinct ; le tien est-il donc de « tromper !... » II continue par :« Je commençais à comprendre « que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut « mieux que le savoir », et il se termine par cet éclatant aveu : « J'ai tout vu, tout fait, tout usé (1). » La foule... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - French drama - 1917 - 328 pages
...mais par malheur j'y étais propre: il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint., II /ne / me restait plus qu'à voler; je me fais banquier de pharaon : alprs, borua&s gens ! je soupe en ville, et 20 les personnes dites cçmme il faut m'ouvrent poliment... | |
| Louis Arnould - Happiness - 1917 - 384 pages
...instinct ; le tien est-il donc de « tromper i . . . » II continue par :« Je commençais à comprendre u que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut « mieux que le savoir », et il se termine par cet éclatant aveu : « J'ai tout vu, tout fait, tout usé (1). » La foule... | |
| Henri Adolphe Pauthier - Literature - 1919 - 472 pages
...mais, par malheur, j'y étais propre; il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. II ne me restait plus qu'à voler; je me fais banquier...pu me remonter; je commençais même à comprendre gue pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour... | |
| Wilhelm Widmann - Drama - 1920 - 234 pages
...propre: il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint! II ne me restait plus qu'ä voler; ce me fais banquier de pharaon: alors, bonnes gens! je...maison, en retenant pour elles les trois quarts du proh't. J'aurais bien pu me remonter; je commen9ais meme ä comprendre que pour gagner du bien, le... | |
| Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1923 - 356 pages
...mais par malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler ; je me fais banquier de pharaon 1 : alors, bonnes gens ! je soupe en ville, et les personnes dites comme il faut m'ouvrent poliment... | |
| Henri Bornecque - French literature - 1924 - 240 pages
...mais par malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler ; je me fais banquier...J'aurais bien pu me remonter ; je commençais même a comprendre que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais, comme chacun... | |
| Marcel Braunschvig - French literature - 1926 - 864 pages
...j'y étais propre: il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. 11 ne me restait pins qu'à voler ; je me fais banquier* de pharaon* : alors, bonnes gens! je sonne en ville, et les personnes dites comme il ffiul m'ouvrent poliment leur maison, en retenant pour... | |
| Clarence Dietz Brenner - French drama - 1927 - 1136 pages
...fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler; je me fais banquier de pharaon : 8 alors, bonnes gens ! je soupe en ville, et les personnes...J'aurais bien pu me remonter; je commençais même & comprendre que pour gagner du bien le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais, comme chacun pillait... | |
| Charles Marc Des Granges, Charles Charrier - French literature - 1928 - 622 pages
...mais par malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler ; je me fais banquier...profit. J'aurais bien pu me remonter; je commençais mfime à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun... | |
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