 | Répertoire général du Théåtre Français - 1814 - 354 pages
...étois propre : il falloit un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restoit plus cJU'à voler; je me fais banquier de pharaon; alors, bonnes...en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurois bien pu me remonter; jecommençois même à comprendre que , pour gagner du bien, le savoir-faire... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - French drama - 1818 - 346 pages
...mais par malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint- Il ne me restait plus qu'à voler; je me fais banquier...commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de mol, en exigeant que je... | |
 | French drama - 1822 - 806 pages
...malheur j'y étois propre : il falloit un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restoit plus qu'à voler; je me fais banquier de pharaon:...en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurois bien pu me remonter; je commencois même à comprendre que pour gagner du bien , le savoir... | |
 | French drama - 1822 - 434 pages
...malheur j'y étois propre : il falloit un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restoit plus qu'à voler; je me fais banquier de Pharaon :...en retenant pour elles les trois quarts du profit. J'aurois bien pu me remonter; je commençois même à comprendre que , pour gagner du bien, le savoir-faire... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1828 - 516 pages
...mais par malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fui un danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler ; je me fais banquier...J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à com, prendre que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun... | |
 | Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais - French drama - 1846 - 616 pages
...par malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne mc restait plus qu'à voler; je me fais banquier de pharaon...commençais même à comprendre que, pour gagner du bieu, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1846 - 612 pages
...mais par malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler; je me fais banquier...remonter; je commençais même à comprendre que, pourgagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi,... | |
 | Ed Mennechet - European literature - 1846 - 488 pages
...malheur, j'y » étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un dan•i seur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler; » je me fais banquier de Pharaon. Alors, bonnes gens! je i.> soupe en ville , et les personnes dites comme il faut. •i m'ouvrent poliment leur maison , en... | |
 | France - 1850 - 420 pages
...puissent en dire autant?» FIGARO : « Médiocre et rampant, et l'on arrive à tout. » FIGARO : a Je me fais banquier de pharaon. Alors, bonnes gens!...personnes dites comme il faut, m'ouvrent poliment leurs maisons, en retenant pour elles les trois quarts du profit. » 13 Beaumarchais fait connaître... | |
 | Antoine Guitton - 1857 - 410 pages
...m'adressai à un autre agent ; il accepta. « Oli! alors, comme Figaro, je commençais à com« prendre que pour gagner du bien le savoir-faire vaut » mieux que le savoir. » Je traquais les clients dans tous les repaires de la Bourse. Je me liais avec les banquiers allemands... | |
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Le désespoir m'allait saisir : on pense à moi pour une place, mais par malheur j'y étais propre ; il fallait un calculateur : ce fut un danseur qui l'obtint. Il ne me restait plus qu'à voler : je me fais banquier de pharaon. Alors, bonnes gens ! je... 
