| Authors - 1824 - 490 pages
...error. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Peut-on mieux imiter Virgile? (Bue. VIII, 41,) Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Peut-on mieux imiter Sapho? Ces vers, quoique imités, coulent de source; chaque mot trouble les âmes... | |
| Voltaire - 1824 - 446 pages
...superbe unucmi ; Je le vis, je rougis, je palis, & sa vue ; Un trouble s'eleva dans moQ ame ^perdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et bruler; Je reconnus Venus et ses traits r£doutables, D'un sang qu'elle ponrsuit tourmens inevitables... | |
| Pierre-François Tissot - 1825 - 652 pages
...exigeait qu'QE' Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vii, je rougis, je pâlis à sa vue ; In trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux...parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Tout ce passage est évidemment emprunté de la seconde idylle de Théocrite , intitulée la Pharmaceutrie.... | |
| Jean-François de La Harpe - Bible - 1825 - 552 pages
...montra mon superbe ennemi. Je le vis; je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais...parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Voilà la peinture la plus vraie de toutes les ardeurs de l'amour : voici ce que la fable permettait... | |
| Pierre-François Tissot - 1825 - 652 pages
...superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je p&lisà sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme eperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. none fût présente à la déclaration de Phèdre : Racine sentait d'ailleurs le besoin qu'il avait... | |
| Authors - 1827 - 584 pages
...bonheur, semblait être affermi : Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâIis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue....parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Voilà la peinture la plus vraie de toutes les ardeurs de l'amour : voici ce que la Fable permettait... | |
| Voltaire - Philosophy - 1827 - 726 pages
...images : alors l'auteur dit précisément les mêmes choses que dirait la personne qu'il introduit : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. RACINE, Phèdre, act. I, se. ni. L'imagination... | |
| Voltaire - Philosophy - 1827 - 724 pages
...qui parlât de la passion de Phèdre. ( Acte I", scène ni.) Athèues me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mou ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis tout mou corps et transir... | |
| Ida Saint-Elme - France - 1828 - 424 pages
...d'un amour dont la sincérité ne pouvait m'être suspecte, tout mou être sembla se bouleverser : « Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ;...sentis tout mon corps et transir et brûler. » Je ne puis le nier, j'eus un moment d'hésitation; jl se fit en moi un changement absolu, mais très heureusement... | |
| Voltaire - Literary style - 1828 - 528 pages
...métaphore si recherchée. dit precisément les mêmes choses que dirait la personne qu'il introduit : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. RACINE , Phèdre, acte i, se. 3. L'imagination... | |
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