| François Moysant - 1803 - 438 pages
...m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembloit être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler, Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus... | |
| Jean Racine - 1804 - 384 pages
...m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembloit être affermi; Athènes-me montra mon superbe ennemi : Je le vis ; je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne Toyoient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vém^,... | |
| Jean-François de La Harpe - Classical literature - 1798 - 502 pages
...engagée, Mon repos , mon bonheur , semblait être affermi : Athenes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je' rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. IVles yeux ne voyaient plus, j,e ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.... | |
| Jean Racine - 1805 - 348 pages
...semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis . je rougis . je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue...ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple , et... | |
| Virgil - Country life - 1806 - 364 pages
...violent , comme on le voit dans ces paroles de Phèdre , qui sont la paraphrase du vers de Virgile : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue : Un trouble...tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Venus. . . . 264, VERS la. Nunc scio quid sit Amor. Duris in cotibus illum Aut Tmaros , aut Rhpdope,... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 292 pages
...Athènes me montra mon superbe ennemi : '' ' Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue ; Un troubla s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient...pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brâler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitable*.... | |
| Louis Dubroca - Oratory - 1810 - 296 pages
...engagée , Mon repos , mon bonljeur semblait être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Un trouble...tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Ve'nus et ses feux redoutables, Du sang qu'elle poursuit, tourmens inévitables. Par des vœux assidus... | |
| Jean Racine - Theater - 1810 - 418 pages
...pâlis à sa vue ; TTn trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler....redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments incvitables. Par des vœux assidus je crus les detourner : Je lui bâiis un temple, et pris soin de... | |
| Théodore Vernier comte de Montorient - 1810 - 392 pages
...très-heureusement imité en parlant de l'amour, les effets produits par la surprise et les passions violentes. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler. La peur est dans l'homme , cette disposition... | |
| Jean Racine - 1811 - 470 pages
...engagée , Mon repos , mon honneur sembloit être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
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