| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - French language - 1873 - 388 pages
...est aquilon, tout me semble zéphyr Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je...plus souvent Sur les humides bords des royaumes du venu La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part... | |
| B. Berger - 1874 - 648 pages
...trouve que dans les mots empruntés à l'allemand ou à l'anglais : wagon, Westp/ialie. LES VOYELLES Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...vent. La nature envers vous me semble bien injuste. B) Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel. Mais quittez ce souci : Les vents... | |
| 1875 - 738 pages
...n'auriez pas tant a souffrir ; Je vous dlfendrais de Porage : Mais vous naissez le plus souvent Snr les humides bords des royaumes du vent. La Nature...me semble bien injuste. — Votre compassion, lui repondit 1'Arbuste, Part d'un bon nature! : mais quittez ce souci. Les vents me sont moins qu'a vous... | |
| Théodore-Henri Barrau - French language - 1875 - 366 pages
...est observé partout ; continuons : Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage. L'orgueil du Chêne était satisfait. Il reprend son premier ton de compassion, pour engager adroitement... | |
| Augustin Pellissier - 1875 - 148 pages
...énergie dans la brièveté ! <t Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage « Dont je couvre le voisinage, « Vous n'auriez pas tant à souffrir; « Je vous défendrais de l'orage. L'orgueil du Chêne étant satisfait, il reprend son premier ton de compassion. Qu'il ya de plaisir... | |
| Jean de La Fontaine - 1877 - 522 pages
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous déf'endrois de l'orage : 15 Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...l'arbuste, Part d'un bon naturel; mais quittez ce souci: 20 Les vents me sont moins qu'à vous redoutables; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre... | |
| Jean de La Fontaine - 1877 - 134 pages
...aquilon, tout me semble zéphyr. 10 Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent 15 Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre... | |
| Jean de La Fontaine - Fables, French - 1877 - 122 pages
...aquilon, tout me semble zéphyr. lt> Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent 1 5 Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre... | |
| J. P. Péters - French language - 1878 - 74 pages
...je couvre le voisinage, — vous n'auriez pas tant a souffrir ; je vous defendrais de 1'orage. — Mais vous naissez le plus souvent sur les humides...semble bien injuste." — "Votre compassion," lui repondit 1'arbuste, "part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : — Les vents me sont moins qu'a... | |
| Jean de La Fontaine - Fables, French - 1878 - 402 pages
...est aquilon, tout me semble zéphyr. Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; . Je vous défendrais de l'orage : (1) Exposition nette et vive. (Z) Chaque mot du chêne fait senlir au roseau sa faiblesse. (3) Cependant... | |
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