| René Descartes, Etienne Gilson - Science - 1987 - 520 pages
...remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement. 25 En suite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que, par conséquent, mon...douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris de quelque nature qui fût en effet plus parfaite: Pour ce qui est des pensées que j'avais de plusieurs... | |
| André Robinet - Philosophy - 1999 - 454 pages
...«mon être qui n'était pas tout parfait». L'appel à la commensuration des perfections vient de ce «je voyais clairement que c'était une plus grande perfection de connaître que de douter », par conséquent inscrit directement le départ de la preuve dans la bipolarité des natures simples... | |
| Laurence Devillairs - God - 2004 - 356 pages
...même temps la voie qui me conduit à la connaissance d'un être parfait : « (...) faisant réflexion sur ce que je doutais, et que, par conséquent, mon être n'était pas tout parfait (...), je m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que... | |
| Albert Lautman, Fernando Zalamea - Philosophy - 2006 - 324 pages
...l'existence est ainsi enveloppée dans la sienne propre : Ensuite de quoi, nous dit-il, faisant réflexion sur ce que je doutais et que par conséquent mon être...chose de plus parfait que je n'étais ; et je connus nécessairement que ce devait être de quelque nature qui fût en effet plus parfaite ' . M. Gilson... | |
| Albert Lautman, Fernando Zalamea - Philosophy - 2006 - 324 pages
...l'existence est ainsi enveloppée dans la sienne propre : Ensuite de quoi, nous dit-il, faisant réflexion sur ce que je doutais et que par conséquent mon être...douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penserà quelque chose de plus parfait que je n'étais ; et je connus nécessairement que ce devait... | |
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