| René Descartes - Philosophy - 1876 - 466 pages
...remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement. En suite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que, par conséquent, mon être n'était pas tout parfait, car je voyois clairement que c'étoit une plus grande perfection de connoîtreque dejouter^ je m'avisai de... | |
| Alfred Fouillée - Philosophy - 1877 - 620 pages
...III. IV. — Argument en faveur de l'existence de Dieu tiré de l'idée du parfait. Faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon...chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose deplus parfait que je n'étais ; et je connus évidemment que ce devait être de quelque nature qui... | |
| René Descartes - 1879 - 632 pages
...remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement 1. Ensuite de quoi1, faisant réflexion sur ce que je doutais , et que par conséquent mon...parfait que je n'étais, et je connus évidemment qoe ce devait être de quelque nature qui fût en effet plus parfaite. Pour ce qui est des pensées... | |
| René Descartes - Philosophy, French - 1880 - 326 pages
...remarquer qu'elles sont celles que nous concevons distinctement. En suite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que, par conséquent, mon...grande perfection de connaître que de douter, je m'avisais de chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais... | |
| Philosophy - 1881 - 854 pages
...faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon être n'était pas tout pariait, car je voyais clairement que c'était une plus grande...m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penser ù quelque chose de plus parfait que je n'étais, et je connus évidemment que ce devait être de quelque... | |
| René Descartes - Science - 1881 - 192 pages
...longues et les I résumer dans une note. DISCOURS DE I..V MÉTHODE. 6 Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon être n'était pas tout parfait : car je voyais clairsment que c'était une plus grande perfection de connaître que de douter, je m'avisai de chercher... | |
| Philosophy - 1881 - 860 pages
...commence par en tirer l'existence d'un être parfait, de Dieu. • Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon être n'était pas tout parlait, car je voyais clairement que c'était une plus grande perfection de connaître que de douter,... | |
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1885 - 180 pages
...ont accoutumé leur esprit à la contemplation de la Divi1. « Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que, par conséquent, mon...douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris à pensera quelque chose de plus parfait que je n'étais, et je connus évidemment que ce devait être... | |
| Philosophy - 1891 - 644 pages
...l'avons fait plus haut : « Faisant ré\.îf abject. p. 106. 2. Rép. aux 2' obj. p. 114. » flexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon » être n'était pas parfait, je m'avisai de chercher d'où j'avais » appris à penser à quelque chose de plus parfait... | |
| Académie de Stanislas (Nancy, France) - 1896 - 998 pages
...réflexion sur ce que je doutais, et que, par consé« quenl, mon être n'était pas tout parfait, je m'avisai de « chercher d'où j'avais appris à...devait être de quelque nature qui fût, en effet, i plus parfaite. » Oui, lui ont fait observer les auteurs des Deuxièmes objections aux Méditations,... | |
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