...Dès 1693, Fénelon, dans une lettre anonyme au roi, jetait ce cri de détresse : « Vos peuples... meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée. Les villes et les campagnes se dépeuplent. Tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout...

...collection des économistes, t. I, p. 34. — Fénelon écrivait au roi, en 1694 : • Vos peuples meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée; les villes et les campagnes se dépeuplent, tous les métiers languissent. Tout le commerce est anéanti, i (OEuires...

...culture des terres est presque abandonnée, écrivait Fénelon à Louis XIV ; les villes et les campagnes se dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolée! sans provisions. » Et telles étaient...

...quand il disait : « Vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, qui ont été jusqu'ici passionnés pour vous, meurent de faim ; la culture...des terres est presque abandonnée, les villes et les campagnes se dépeuplent, tous les métiers languissent et ne nourrissent plus leurs habitants....

...qu'à cent ans de là. Je lis chez un autre écrivain d'alors : « Les peuples meurent de fain. . . la culture des terres est presque abandonnée ... les villes et la campagne se dépeuplent. . . tout commerce est anéanti ; au lieu de tirer de l'argent du pauvre peuple il faudrait lui faire...

...qu'à cent ans de là. Je lis chez un autre écrivain d'alors : « Les peuples meurent de fain. . . la culture des terres est presque abandonnée ... les villes et la campagne se dépeuplent. . . tout commerce est anéanti ; au lieu de tirer de l'argent du pauvre peuple il faudrait lui faire...

...l'archevêque de Cambrai. La culture des terres est presque abandonnée; les villes et les campagnes se dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers... Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La...

...présente : nous citons textuellement: « Vos peuples que vous devriez aimer comme vos « enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour «...« dépeuplent, tous les métiers languissent et ne nour« rissent plus les ouvriers. Toutcommerce est anéan« ti... La France entière n'est plus qu'un...

...lui-même, nous apprend le plus clair résultat de ce règne tout doré de gloire. « Vos peuples, dit-il, meurent de faim. La culture des terres est presque...nourrissent plus les ouvriers ; tout commerce est anéanti ... La France entière n'est plus qu'un grand hôpital, désolé et sans provisions ('). » Vauban,...

...lui-même, nous apprend le plus clair résultat de ce règne tout doré de gloire. « Vos peuples, dit-il, meurent de faim. La culture des terres est presque...nourrissent plus les ouvriers ; tout commerce est anéanti . . . La France entière n'est plus qu'un grand hôpital, désolé et sans provisions ('). » Vauban,...