...pensé et avoir soigneusement examiné toutes chases, enfin ti faut conclure et tenir pour constant que cette proposition: Je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la confois en mon esprit. Mais je ne connais pas encore assez clairement quel je suis, moi qui...

...vérité ? » (VR-ME, XXV). Si l'on songe à la proposition de la seconde Méditation de Descartes : « Cette proposition : je suis, j'existe, est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit », on doit constater que Descartes n'a pas précisé en quoi consistait...

...fait, l'énoncé cartésien n'est donné pour vrai qu'autant-et pour le temps - que je le prononce : «Cette proposition : Je suis, j'existe est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit »3. Mais si ce caractère de performance est patent dans la deuxième...

...capables de l'ébranler, Descartes la reçoit pour le principe de la philosophie qu'il cherchait17. La proposition: Je suis, j'existe, est «nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit»18. Puisque du côté des objets rien n'est indubitable, le sujet...

...pas pouvoir atteindre un plus haut degré. Descartes écrivait ainsi: «Il faut conclure (...) que cette proposition: 'Je suis, j'existe', est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit» <nous soulignons> (AT, EX, p. 19, Alq. II, p. 415-6). On est très...

...et substance pensante3». Le prototype de l'occasion actuelle, c'est un acte d'expérience : « La proposition "je suis, j'existe" est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit ». « Pour Descartes, un acte d'expérience est le type originaire...

...chose. De sorte qu'après y avoir bien pensé (...) enfin il faut conclure, et tenir pour constant que cette proposition :Je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je k. i no conçois en mon esprit ». La réalité incontournable qui fait que toute pensée hostile...

...et avoir soigneusement examiné toutes choses, enfin il faut conclure, et tenir pour constant, que cette proposition, je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit. »" La subtile incidente du « toutes les fois que » de cette citation...

...pensé et avoir soigneusement examiné toutes choses, enfin il faut conclure, et tenir pour constant que cette proposition : je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit. [...] Mais qu'est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu'est-ce...

...avoir soigneusement examine toutes choses, enfin il taut conclure, et tenir pour constant que cctte proposition: Je suis, j'existe, est nécessairement vraie. toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit" (OL, p. 275: AT lX- 1, p. 19). 9S "(...) certainement, qu'il n'ya...