 | André Camille Fontaine - French language - 1914 - 306 pages
...Monsieur, je ne survivrai pas à cet affront-ci." Gourville se moqua de lui. Vatel monte à sa chambre, met son épée contre la porte et se la passe au travers du cœur ; mais ce ne fut qu'au troisième coup (car il s'en donna deux qui n'étaient pas mortels) qu'il tomba mort. Cependant... | |
 | Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 400 pages
...Monsieur, je ne survivrai point à cet affront-ci; Gourville se moqua de lui. Vatel monté à sa chambre, met son épée contre la porte, et se la passe au travers du cœur; mais ce ne fut qu'au troi20 sième coup; car il s'en donna deux qui n'étaient point mortels; il tombe mort. La... | |
 | Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 408 pages
...Monsieur, je ne survivrai point à cet affront-ci; Gourville se moqua de lui. Vatel monté à sa chambre, met son épée contre la porte, et se la passe au travers du cœur; mais ce ne fut qu'au troi20 sième coup; car il s'en donna deux qui n'étaient point mortels; il tombe mort. La... | |
 | Henri Guyot - French letters - 1923 - 448 pages
...l'honneur et de la réputation à perdre. » Gourville se moqua de lui. Vatel monte à sa chambre, met son épée contre la porte, et se la passe au travers du cœur; mais ce ne fut qu'au troisième coup, car il s'en donna deux qui n'étoieiit pas mortels : il tombe mort. La marée... | |
 | Henri Bornecque - French literature - 1924 - 240 pages
...Monsieur, je ne survivrai point à cet affront-ci. » Gourville se moqua de lui. Vatel monte à sa chambre, met son épée contre la porte, et se la passe au travers du cœur ; mais ce ne fut qu'au troisième coup, car il s'en donna deux qui n'étaient pas mortels ; il tombe mort. La marée... | |
 | Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - Authors, French - 1921 - 428 pages
...Monsieur, je ne survivrai point à cet affront-ci. » Gourville se moqua de lui. Vatel monte à sa chambre, met son épée contre la porte, et se la passe au travers du cœur ; mais ce ne fut qu'au troisième coup, car il s'en donna deux qui n'étaient point mortels. Il tombe mort. La marée... | |
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Gourville se moqua de lui. Vatel monte à sa chambre, met son épée contre la porte, et se la passe au travers du cœur ; mais ce ne fut qu'au troisième coup, car il s'en donna deux qui n'étaient pas mortels ; il tombe mort. 
