| Augustin Theiner - Cisalpine Republic - 1869 - 710 pages
...au Sénat ces nobles paroles, qui furent également couvertes des plus bruyantes acclamations : « Tout ce qui peut contribuer au bien de la patrie est...J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. « Dans tous les cas, mon esprit ne serait plus avec ma... | |
| Augustin Theiner - Church and state - 1869 - 710 pages
...au Sénat ces nobles paroles, qui furent également couvertes des plus bruyantes acclamations : « Tout ce qui peut contribuer au bien de la patrie est...J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. « Dans tous les cas, mon esprit ne serait plus avec ma... | |
| Pierre Lanfrey - France - 1869 - 694 pages
...impériale la nation n'a fait que payer un tribut à sa propre dignité. « J'accepte, répond Bonaparte, le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environne ma famille. Dans tous... | |
| Antoine-Elisabeth-Cléophas Dareste de La Chavanne - France - 1873 - 656 pages
...porter à Saint-Cloud. Napoléon fut proclamé Empereur des Français. Il répondit aux sénateurs : «J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire...J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne serait plus avec ma postérité... | |
| Louis Léouzon Le Duc - Courts and courtiers - 1876 - 344 pages
...l'interroger sur la succession. « J'accepte, dit-il au Sénat qui lui présentait la couronne impériale, j'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire...nation. — Je soumets à la sanction du peuple la loi d'hérédité. » Ainsi, on le voit, l'appel direct ne répond aucunement à la pratique connue des... | |
| Louis Léouzon Le Duc - Courts and courtiers - 1876 - 352 pages
...l'interroger sur la succession. « J'accepte, dit-il au Sénat qui lui présentait la couronne impériale, j'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire...nation. — Je soumets à la sanction du peuple la loi d'hérédité. » Ainsi, on le voit, l'appel direct ne répond aucunement à la pratique connue des... | |
| Henri Martin - France - 1879 - 514 pages
...empereur répondit, avec cette brièveté solennelle qu'il affectait dans les grandes occasions : « J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire...à la sanction du peuple la loi de l'hérédité... Mon esprit ne serait plus avec ma postérité le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la... | |
| Henri Martin - France - 1879 - 528 pages
...empereur répondit, avec cette brièveté solennelle qu'il affectait dans les grandes occasions : « J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire...à la sanction du peuple la loi de l'hérédité... Mon esprit ne serait plus avec ma postérité le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la... | |
| Auguste Napoléon Joseph marquis de Colbert-Chabanais - France - 1882 - 538 pages
...République, il proclame à l'instant même Napoléon Empereur des Français. » L'Empereur répondit : « Tout ce qui peut contribuer au bien de la patrie est...J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. « Dans tous les cas, mon esprit ne serait plus avec ma... | |
| Imbert de Saint-Amand - 1887 - 516 pages
...guerre.» C'est là que, le 18 mai 1804, il avait dit aux sénateurs venant proclamer l'empire : « J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environna ma famille ». Et c'est... | |
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