| Adams Sherman Hill - English language - 1888 - 324 pages
...d'éclairs m'éblouissent; je cherche une lumière douce qui soulage mes faibles yeux. Je demande un poëte aimable, proportionné au commun des hommes, qui fasse...simple, que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capable de le trouver. Je préfère l'aimable... | |
| Gustave Merlet - French literature - 1894 - 752 pages
...notes si vibrantes qu'on croit l'entendre lui-même : « Le goût exquis craint le trop en tout.... — Je veux un sublime si familier, si doux et si simple, que chacun soit tenté de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine.... — Oh! qu'il ya de grandeur à se rabaisser... | |
| Louis Petit de Julleville - French language - 1899 - 1002 pages
...source cachée Que ta grâce les désaltère ! La goutte de paix et d'amour. Fénelon, qui demandait « un sublime si familier, si doux et si simple que chacun soit lente d'abord de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine », Fénelon eût aimé dans Joceli/n, cet... | |
| Félix Hémon - French literature - 1899 - 892 pages
...il préfère une lumière douce, une peinture aimable de la nature en ce qu'elle a de plus familier. Je demande un poète aimable, proportionné au commun...pour lui. Je veux un sublime si familier, si doux cl si simple, que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine, quoique peu... | |
| Gustave Merlet - French literature - 1900 - 828 pages
...notes si vibrantes qu'on croit l'entendre lui-même : « Le goût exquis craint le trop en tout.... — Je veux un sublime si familier, si doux et si simple, que chacun soit tenté de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine.... — Ohl qu'il ya de grandeur à se rabaisser... | |
| Université de Lille - Law - 1902 - 354 pages
...pressent dans les écoles de déclamation. Ce n'est pas eux dont l'idéal est, comme celui de Fenelon, « si familier, si doux et si simple que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capables de le trouver » ; au contraire,... | |
| Léo Claretie - French literature - 1905 - 688 pages
...étude. Tant d'éclairs m'éblouissent. Je cherche une lumière douce qui soulage mes faibles yeux. Je demande un poète aimable, proportionné au commun...rien pour lui. Je veux un sublime si familier, si droit et si simple, que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine, quoique... | |
| Science - 1913 - 814 pages
...pressent dans les écoles de déclamation. Ce n'est pas eux dont l'idéal est, comme celui de Fénelon, si familier, si doux et si simple que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capables de le trouver ('). Nous avons d'ailleurs... | |
| Edmond Estève, E. Guirand, René Harmand - French literature - 1921 - 516 pages
...étude. Tant d'éclairs m'éblouissent; je cherche unelumière douce qui soulage mes faibles yeux. Je demande un poète aimable, proportionné au commun...simple, que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capables de le trouver. Je veux un homme qui... | |
| Władysław Folkierski - Aesthetics - 1925 - 620 pages
...étude. Tant d'éclairs m'éblouissent; je cherche une lumière douce, qui soulage me* faibles yeux. Je demande un poète aimable, proportionné au commun...simple, que chacun soit d'abord tenté de croire qu'il l'aurait trouvé sans peine, quoique peu d'hommes soient capables do le trouver. Je préfère l'aimable... | |
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