| Albert Sorel, Albert-Émile Sorel - France - 1909 - 342 pages
...mon désir de tout voir, de tout regarder de près, mon extrême plaisir à trouver le vrai relatif de chaque chose et de chaque organisation m'entraînaient...été pour moi qu'un long cours de physiologie morale » . De même jusque dans les sciences naturelles. Bien qu'elles restent pour lui les seules connaissances... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1909 - 696 pages
...-xtréme plaisir à trouver le vrai relatif de chaque chose et de chaque organisation m'entrainaient à cette série d'expériences, qui n'ont été pour moi qu'un long cours de physiologie morale. IX En philosophie comme en amour, il est de ces esprits grossiers qui vont droit au fait. ils pensent... | |
| Edmond Henri Adolphe Scherer - English literature - 1911 - 212 pages
...mon désir de tout voir, de tout regarder de près, mon extrême plaisir à trouver le vrai relatif de chaque chose et de chaque organisation, m'entraînaient...pour moi qu'un long cours de physiologie morale.' Je n'ai garde de contester une explication aussi précise. Toutefois, je ne puis oublier non plus combien,... | |
| 1905 - 1304 pages
...mon désir de tout voir, de tout regarder de près, mon extrême plaisir à trouver le vrai relatif de chaque chose et de chaque organisation m'entraînaient...été pour moi qu'un long cours de physiologie morale. » L'âme s'use, 536 se dessèche à ces expériences successives. Avec moins de contentement de soi-même,... | |
| Joseph Bédier, Paul Hazard - French literature - 1924 - 414 pages
...mon désir de tout voir, de tout regarder de près, mon extrême plaisir à trouver le vrai relatif de chaque chose et de chaque organisation m'entraînaient...été pour moi qu'un long cours de physiologie morale ». (Notes et Pensées recueillies au t. XI des Premier* lundis.) Ces lignes, que Sainte-Beuve écrivit... | |
| Scholasticism - 1903 - 778 pages
...mon désir de tout voir, de tout regarder de près, mon extrême plaisir à trouver le vrai relatif de chaque chose et de chaque organisation m'entraînaient...d'expériences, qui n'ont été pour moi qu'un long cours do physiologie morale. » (Portraits Littéraires, III, 5.'|5, pensée XV.) Cette biographie intérieure... | |
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