| Amédé Rougemont - French literature - 1893 - 436 pages
...Père barbare, achève, achève ton ouvrage ; Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières ; 10 Son sang, dont tes bourreaux viennent de me couvrir,...me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée : De ce bienheureux sang tu me vois baptisée ; 15 Je suis chrétienne, enfin,... | |
| Amédé Rougemont - 1893 - 432 pages
...époux en mourant m'a laissé ses lumières ; 10 Son sang, dont tes bourreaux viennent de me couM'a dessillé les yeux et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée : vrir, De ce bienheureux sang tu me vois baptisée ; 15 Je suis chrétienne, enfin,... | |
| Gustave Merlet - French literature - 1894 - 528 pages
...victorieusement par celle des âmes. Car la grâce conjugale a tout fait, et elle crie à son père : Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières; Son...M'a dessillé les 'yeux, et me les vient d'ouvrir. Mais, pour fixer une impression défmitive, ajoutons que ce dévoûment de l'épouse a constamment... | |
| 1896 - 932 pages
...to^be thrown' to< the lions, it may, to be sure, plead the precedent of Corneille's Pauline : — . " Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières ;...me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée "and if the " Sign of the Cross " had any other resemblance to " Polyeucte " than... | |
| Michel Bréal - Indo-European languages - 1897 - 366 pages
...leurre. Dans un tout autre style, quand Pauline, parlant de Polyeucte mort, s'écrie : Son sang, dont ses bourreaux viennent de me couvrir, M'a dessillé les yeux et me les vient d'ouvrir, l'héroïne de Corneille se sert d'une image de même provenance, dessiller (qu'il faudrait écrire... | |
| Alexandre Weill - French language - 1898 - 144 pages
...Je suis désabusée! avec une désinence féminine, après les deux vers tout à à fait masculins : Son sang, dont tes bourreaux viennent de me couvrir,...M'a dessillé les yeux, et me les vient d'ouvrir. C'est, dit-il, comme une marque d'attendrissement et de morbidesse féminins de Pauline. De même,... | |
| Pierre Corneille - 1899 - 104 pages
...tardes-tu ? Tu vois le même crime, ou la même vertu : Ta barbarie en elle a les mêmes matières. Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières ;...Son sang, dont tes bourreaux viennent de me couvrir, 15 M'a dessillé les yeux, et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée... | |
| Leopoldo Augusto de Cueto (marques de Valmar) - Drama - 1900 - 468 pages
...corazón de Paulina, y dice que la sangre del mártir es su bautismo, en estos magníficos versos : «Mon époux, en mourant, m'a laissé ses lumières;...me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée : de ce bienheureux sang tu me vois baptisée; je suis cbrétienne enfin Belle,... | |
| Pierre Corneille - French literature - 1907 - 188 pages
...les mêmes matières. ' : i , * / . f— » 1 Var. Par ses pleurs et ses cris pourra . . . (1643-60.) Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières ;...Son sang, dont tes bourreaux viennent de me couvrir, 1725 M'a desplîjnes yeux, et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée... | |
| Pierre Corneille - French drama - 1907 - 446 pages
...tardes-tu ? Tu vois le même crime, ou la même vertu : Ta barbarie en elle a les mêmes matières. Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières ;...Son sang, dont tes bourreaux viennent de me couvrir, 1795 M'a dessillé les yeux, et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée... | |
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