Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle, c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait... Eléméns d'idéologie - Page 137by comte Antoine Louis Claude Destutt de Tracy - 1825Full view - About this book
| Jean de La Bruyère - 1865 - 730 pages
...précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenteroit si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. (Discours d* la Méthode, a» partie.) manières1, que l'indignité et le mauvais... | |
| François Laurent - Church and state - 1866 - 612 pages
...je ne la connusse évidemment être telle; c'est à dire ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute (2). » Voilà une fière déclaration et digne d'un libre penseur; c'est une... | |
| Michel Eugène Chevreul - Chemistry - 1866 - 510 pages
...bien à mon sens une pétition de principe. «... De ne comprendre rietj de plus en mes juge« ments que ce qui se présenterait si clairement et « si distinctement à mon esprit, que je n'eusse au« cune occasion de le mettre en doute. » Évidemment ce n'est pas là un précepte : car si c'en... | |
| Michel Eugène Chevreul - Chemistry - 1866 - 516 pages
...la prévention, et de ne comprendre « rien de plus en mes jugements que ce qui se pré« senterait si clairement et si distinctement à mon « esprit, que je n'eusse aucune occasion de le met« tre en doute. » £ 176. Ce précepte ne m'a jamais paru clair,; et après avoir tenté... | |
| Adrien de Longpérier - 1867 - 52 pages
...m'efforcerai de lui assigner de justes limites, et de t ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.» On voit continuellement, chacun peut en juger, deux objets qui offrent de... | |
| J. Millet - Philosophy, Modern - 1867 - 542 pages
...soigneusement la précipitation et la prévention » et de ne comprendre rien de plus en mes juge» ments que ce qui se présenterait si clairement et » si distinctement à mon esprit, que je n'eusse au» cune occasion de le mettre en doute. » Le second , de diviser chacune des difficultés » que... | |
| Victor Cousin - Philosophy - 1867 - 600 pages
...précipitation et la prévention, et ne comprendre rien de plus en mes j ugements.que ce qui se préI senteroit si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute*. » Ainsi ce que recommande avant tout Descartes, c'est de se faire en toutes... | |
| Friedrich Ueberweg - Philosophy - 1868 - 456 pages
...soigneusement la précipitation et la prévention et de ne comprendre rien de plus dans mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais, en autant... | |
| François Pierre G. Guizot - Christian literature - 1868 - 504 pages
...soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que1 je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute 1. » Plus d'un siècle après Descartes, Condillac,... | |
| Unknown - 1869 - 814 pages
...éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. » Je puis faire, je le sais, acte de raison en recevant d'aatrui des opinions... | |
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