Nature n'est point un être, car cet êlre serait Dieu. Mais on peut la considérer comme une puissance vive, immense, qui embrasse tout, qui anime tout, et qui, subordonnée à celle du premier Être, n'a commencé d'agir que par son ordre, et n'agit... L'idée de dieu et ses nouveaux critiques - Page 238by Elme-Marie Caro - 1864 - 508 pagesFull view - About this book
| Francis Potter Daniels - French language - 1917 - 806 pages
...considérer comme une puis. . .- ••*+4frryf***+' . sance v1ve, 1mmense, qu1 embrasse tout, qu1 anime tout, et qui, subordonnée à celle du premier...ordre, et n'agit encore que par son ''Concours ou son co1Êenternent. Cette puissance est de la puissance divine la partie qui 2 se manifeste ; c'est en... | |
| Alexandre Brou - French literature - 1925 - 458 pages
...et en Dieu créateur. Croit-il également en Dieu Providence? Il dit nettement : « (La nature est) comme une puissance vive, immense, qui embrasse tout,...n'agit encore que par son concours -ou son consentement ». Et ailleurs: « Grand Dieu, dont la seule présence soutient la nature et maintient l'harmonie... | |
| Alexandre Brou - French literature - 1925 - 466 pages
...et en Dieu créateur. Croit-il également en Dieu Providence ? Il dit nettement : « (La nature est) comme une puissance vive, immense, qui embrasse tout,...n'agit encore que par son concours ou son consentement ». Et ailleurs: « Grand Dieu, dont la seule présence soutient la nature et maintient l'harmonie... | |
| Marcel Braunschvig - French literature - 1926 - 864 pages
...n'est point une chose, car cette chose serait tout; la JSaturc n'est point un être, car cet être serait Dieu • mais on peut la considérer comme...n'agit encore que par son concours ou son consentement » (De la Nature, première vue). D'autre part, s'il est vrai que Bufîbn ait eu le vague pressentiment... | |
| Arts - 1857 - 1036 pages
...nature n'est point une chose, car cette chose serait tout; la nature n'est point un être, car cet être serait Dieu. Mais on peut la considérer comme une...celle du premier Être, n'a commencé d'agir que par ordre, et n'agit encore que par son concours ou son consentement. Cette puissance est, de la puissance... | |
| comte Georges Louis Leclerc de Buffon - 1799 - 466 pages
...seroit jtout. La Nature n'est point uA être , car cet être ser oit Dieu ; mais on peut la considère» comme une puissance vive, immense, qui embrasse tout,...qui, subordonnée à celle du. premier être, n'a corn* mencé d'agir que par son. oïdre , et n'agit encore que.par son concours ou son cons,en* tement.... | |
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