| Victor Cousin - 1849 - 558 pages
...et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point trèsdélicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament...plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout le monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein ' de la nature. Nulle idée n'en... | |
| Victor Cousin - 1849 - 558 pages
...qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrasent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre: elle se lassera plutôt de condvoir que la nature de fourmi Tout ce que nous voyons du mtmde n'est qu'un trait imperceptihi dans... | |
| Saucié - 1850 - 272 pages
...roulent dans le firmament embrassent4. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre3 : elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'en approche.... | |
| Pierre Léon Lezaud - 1851 - 330 pages
...et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour n'est lui-même qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament...trait imperceptible , dans l'ample sein de la nature. Nulleidée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons... | |
| P. L. Lezaud - 1851 - 312 pages
...et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour n'est lui-même qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament...trait imperceptible, dans l'ample sein de la nature. Nulleidée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons... | |
| Blaise Pascal, Ernest Havet - Apologetics - 1852 - 680 pages
...qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point très-délicat 6 à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament...là, que l'imagination passe outre : elle se lassera plus tôt de concevoir que la nature de fournir'. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible... | |
| Blaise Pascal - 1852 - 684 pages
...point très-délicat 6 à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent1. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre : elle se lassera plus tôt de concevoir que la nature de fournir'. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible... | |
| Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point trèsdélicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament,...de concevoir que la nature •de fournir. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'en approche.... | |
| Charles Jean Delille - French literature - 1855 - 612 pages
...et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour n'est lui-même qu'un point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament...là, que l'imagination passe outre. Elle se lassera plus tôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1856 - 374 pages
...qu'il s'étonne « de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'un point « très délicat à l'égard de celui que les astres, qui « roulent dans le firmament,...« notre vue s'arrête là, que l'imagination passe ou« tre : elle se lassera plutôt de concevoir que la nature « de fournir. Tout ce monde visible... | |
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