| Anselme Ouradou - 1864 - 448 pages
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage: Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du verit. La nature envers vous me semble , bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste,... | |
| J. Delpech - French language - 1866 - 366 pages
...n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Snr les humides bords des royaumes du vent. La nature...Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Késisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon... | |
| Jean de La Fontaine - 1866 - 414 pages
...faiblesse. (3) Cependant gue pour tandis gue est du style de la poésie élevée. L, Hante montagne d'Asïe. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...vent. La nature envers vous me semble bien injuste (1). Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les... | |
| Jean de La Fontaine - 1867 - 310 pages
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans couber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec... | |
| Jean de La Fontaine - 1867 - 640 pages
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel 5 ; mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie, et ne romps pas.... | |
| Alfred G. Havet - 1867 - 280 pages
...feuillage Dont je oouvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant a souffrir ; Je vous defendrais de 1'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...semble bien injuste." — " Votre compassion," lui repondit 1'arbuste, " Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souei : Les vents me sont moins qu'a... | |
| Saint Marc Girardin - Fables - 1867 - 466 pages
...bien magnifique. Le roseau ne s'y trompe pas, car il répond au chêne d'un ton sec et piqué : — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel; mais quittez ce souci. » Il ne veut pas se faire le client de l'orgueilleux qui s'offre à lui pour protecteur; il n'est... | |
| Jean de La Fontaine - 1868 - 780 pages
...couvre le voisinage , Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrois de l'orage; .M; lis vous naissez le plus souvent . Sur les humides bords...souci; Les vents me sont, moins qu'à vous redoutables J« plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber... | |
| Alfred G. Havet - English prose literature - 1868 - 316 pages
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. 1. ('. e. , Pendant ou tandis. 2. Le Caucase, haute montagne d'Asie, située entre la mer Noire et... | |
| Frederick Leypoldt - French language - 1869 - 240 pages
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage ; Mais vous naissez, le plus souvent, Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers^vous me semble bien injuste.— Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel... | |
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