| E F C. Ritter - 1844 - 236 pages
...naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez point tant à souffrir ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...redoutables ; Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Je vous défendrais de l'orage ; Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ;... | |
| Albert Etienne de Montémont - Grammar, Comparative and general - 1845 - 406 pages
...la lêle, tout vous est aquilon, tout me semble zéphyr. Encore vous n'auriez pas tant à souffrir, mais vous naissez le plus souvent sur les humides...vent. La nature envers vous me semble bien injuste, mon front brave l'effort de la tempête. d'aventure fait rider la face de l'eau, au Caucase pareil,... | |
| Gabriel Surenne - 1846 - 346 pages
...gloire, Où jadis cent rivaux lui cédaient la victoire." SAINT-LAMBERT, Les Saisons, Chasse du Cerf. " Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent." LA FONTAINE, Le Chêne et le Boseau. " Justes, ne craignez point le vain pouvoir des hommes ; Quelque... | |
| Désiré Nisard - French literature - 1849 - 604 pages
...peint par masse; qui font sentir même ce qui est immatériel, la chaleur, la fraîcheur, l'étendue: Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent (i). Qui n'a pas visité ces royaumes-là? qui n'a pas gardé dans son imagination la fraîcheur humide... | |
| 1851 - 396 pages
...feuillage, Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant a souffrir; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...vent. La nature envers vous me semble bien injuste. » — Vostre compassion , lui répondit l'arbuste , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci.... | |
| French literature - 1851 - 508 pages
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...vent. La nature envers vous me semble bien injuste. » — Vostre compassion , lui répondit l'arbuste , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci.... | |
| Théodore Lorin - 1852 - 336 pages
...CEuv., p. 271, r». Consultez la note de feu Ch. Nodier sur cette fable de La Fontaine. PLIER , va et n. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas Liv. I, fab. 22. M. Napoléon Landais prétend que La Fontaine aurait peutêtre dû dire ployer. Il... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - French literature - 1856 - 488 pages
...Dont je couvre le voisinage , Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides...redoutables ; Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre3 leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il... | |
| Charles Augustin Henry - 1856 - 1008 pages
...ressemblance. Veut-il exprimer les endroits bas et marécageux où croissent ordinairement les roseaux? Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. S'agit-il de peindre la différence de l'arbuste fragile au chêne robuste : peut-elle être mieux... | |
| Antonio Bergnes de las Casas - 1857 - 500 pages
...Dont je couvre le voisinage . Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du veut. La nature envers vous me semble bien injuste. Voire compassion , lui répondit l'arbuste, Part... | |
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