| Jean Racine - French drama - 1801 - 304 pages
...voyoient plus, je ne pouvois parler ; Je sentis tout mou corps et transir et brûler. . I : • 3e reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner ; De... | |
| François Moysant - 1803 - 438 pages
...pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler, Je sentis tout mon corps et transir et brûler....et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner: Je lui bâtis un temple, et pris... | |
| Jean-François de La Harpe - Classical literature - 1798 - 502 pages
...ennemi. Je le vis , je' rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. IVles yeux ne voyaient plus, j,e ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Voilà la peinture la plus vraie de toutes les ardeurs de l'amour : voici ce que la Fable permettait... | |
| Jean Racine - 1804 - 384 pages
...pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne Toyoient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vém^, et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par des vœux assidus... | |
| Jean Racine - 1805 - 348 pages
...semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis . je rougis . je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ;...ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple , et... | |
| Virgil - Country life - 1806 - 364 pages
...paroles de Phèdre , qui sont la paraphrase du vers de Virgile : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ;...tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Venus. . . . 264, VERS la. Nunc scio quid sit Amor. Duris in cotibus illum Aut Tmaros , aut Rhpdope,... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 292 pages
...Athènes me montra mon superbe ennemi : '' ' Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue ; Un troubla s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient...pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brâler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitable*.... | |
| Louis Dubroca - Oratory - 1810 - 296 pages
...semblait être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes...tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Ve'nus et ses feux redoutables, Du sang qu'elle poursuit, tourmens inévitables. Par des vœux assidus... | |
| Jean Racine - Theater - 1810 - 418 pages
...pâlis à sa vue ; TTn trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler....redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments incvitables. Par des vœux assidus je crus les detourner : Je lui bâiis un temple, et pris soin de... | |
| Jean Racine - 1811 - 470 pages
...pâlis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler ; Je sentis tout mon corps et transir , et...D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner ; Je lui bâtis un temple , et pris soin de l'orner. De... | |
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