 | Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...bénis le ciel chaque jour par l'heureux effet qu'il produisit sur mon âme. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai...comme un homme mort. Donnant leur véritable prix aux choses que j'allais quitter, je commençai de m'occuper de soins plus nobles , comme par anticipation... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1832 - 412 pages
...bénis le ciel chaque jour par l'heureux effet qu'il produisit sur mon âme. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai comme un homme mon. Donnant leur véritable prix aux choses que j'allois quitter, je commençai de m'occuper de soins... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...bénis le ciel chaque jour par l'heureux effet qu'il produisit sur mon âme. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai...comme un homme mort. Donnant leur véritable prix aux choses que j'allois quitter, je commençai de m'occuper de soins plus nobles, comme par anticipation... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1844 - 642 pages
...bénis le ciel chaque jour, par l'heureux effet qu'il produisit sur mon âme. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai...comme un homme mort. Donnant leur véritable prix aux choses que j'allais quitter, je commençai de m'occuper de soins plus nobles , comme par anticipation... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1846 - 586 pages
...bénis le ciel chaque jour, par l'heureux effet qu'il produisit sur mon âme. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai...comme un homme mort. Donnant leur véritable prix aux choses que j'allais quitter, je commençai de m'occuper de soins plus nobles, comme par anticipation... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1857 - 642 pages
...bénis le ciel chaque jour par l'heureux effet qu'il produisit sur mon âme. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai...comme un homme mort. Donnant leur véritable prix aux choses que j'allois quitter, je commençai de m'occuper de soins plus nobles, comme par anticipation... | |
 | 1857 - 488 pages
...bénis le Ciel chaque jour par l'heureux effet qu'elle produisit sur monâuie. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai comme un homme mort. » Plusieurs saints de l'Église n'ont pas tenu un autrelangage. Depuis ce moment, il succomba encore... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1865 - 410 pages
...bénis le ciel chaque jour par l'heureux effet qu'il produisit sur mon âme. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai...comme un homme mort. Donnant leur véritable prix aux choses que j'allois quitter, je commençai de m'occuper de soins plus nobles, comme par anticipation... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...bénis le ciel chaque jour, par l'heureux effet qu'il produisit sur mon âme. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai...comme un homme mort. Donnant leur véritable prix aux choses que j'allais quitter, je commençai de m'occuper de soins plus nobles, comme par anticipation... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1925 - 438 pages
...résolus de tirer du peu qu'il m'en restait tout le parti qu'il était possible»... Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai...comme un homme mort. Donnant leur véritable prix aux choses que j'allais, quitter, etc... » (Confcuiont, CEuvrei, t. VIII, pp. 163-168). et presque inanimée,... | |
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Cet accident, qui devait tuer mon corps, ne tua que mes passions; et j'en bénis le ciel chaque jour, par l'heureux effet qu'il produisit sur mon âme. Je puis bien dire que je ne commençai de vivre que quand je me regardai comme un homme mort. 
