...dédaignent pas les chapelains, et où ceux-ci souffrent les chantres. Les provinciaux et les sots un homme d'esprit qui veut se faire entendre. Un bon auteur, e d'eui ou qu'on les méprise ; il ne faut jamais hasarder la plaisanterie, même la plus douce et la...

...dédaignent pas les chapelains , et où ceux-ci souffrent les chantres. Les provinciaux et les sots sont toujours prêts à se fâcher et à croire qu'on...plaisanterie, même la plus douce et la plus permise, qu'avec des gens polis, ou qui ont de l'esprit. On ne prime point avec les grands , ils se défendent par leur...

...chapelains , et où ceux-ci souffrent les chantres. <J Les provinciaux et les sots sont toujours prêts a se fâcher, et à croire qu'on se moque d'eux, ou...plaisanterie, même la plus douce et la plus permise, qu'avec des gens polis, ou qui ont de l'esprit. <J On ne prime point avec les grands, ils se défendent par...

...Le premier degré de stupiditéest de ne penser qu'aux besoins du corps et au présent. — Les sots sont toujours prêts à se fâcher et à croire qu'on..., même la plus douce et la plus permise, qu'avec des gens polis ou qui ont de l'esprit. — L'homme est le seul être vivant qui puisse vivre et se...

...Le premier degré de stupiditéest de ne penser qu'aux besoins du corps et au présent. — Les sots sont toujours prêts à se fâcher et à croire qu'on se moque d'eux ou qu'on les méprise. 11 ne faut jamais hasarder la plaisanterie , même la plus douce et la plus permise, qu'avec des gens...

...qu'on lui porte. « Ne riez ni longtemps, ni souvent, ni avec excès. Rien de plus sot qu'un sot rire. Il ne faut jamais hasarder la plaisanterie même la plus douce et la plus permise, qu'avec des gens polis ou qui ont de l'esprit. Il est plus facile de jeter du ridicule sur une belle action...

...qu'on lui porte. Ne riez ni longtemps, ni souvent, ni avec excès. Rien de plus sot qu'un sot rire. Il ne faut jamais hasarder la plaisanterie même la plus douce et la plus permise, qu'avec des gens polis ou qui ont de l'esprit. Il est plus facile de jeter du ridicule sur une belle action...

...et de Paris , qui ont je ne sais quoi de contraint et d'embarrassé. «. Les provinciaux et les sots sont toujours prêts à se fâcher et à croire qu'on se moque d'eux, ou qu'on les méprise. » LABK. Un homme de province, une dame de province, se disent à la lettre, eu parlant d'une personne...

...toujours prêts à se fâcher, et a croire qu'on se moque d'eux, et qu'on les méprise, a dit La Bruyère; il ne faut jamais hasarder la plaisanterie même la plus douce et la plus permise qu'avec des gens polis ou qui ont de l'esprit. » Eh bien ! la plupart de ces cavaliers, qui se disent accomplis...

...quelques badinages, rien au monde ne m'eût empêché d'y renoncer. La Bruyère a dit ceci : « II ne faut jamais hasarder la plaisanterie, même la plus douce et la plus permise, qu'avec des gens polis, ou qui ont de l'esprit.» C'est ainsi que j'avais entendu mon rôle en cette circonstance....