| Joseph Weber, Trophime-Gérard marquis de Lally-Tolendal - France - 1822 - 528 pages
...reconnu sa reine (i). (1} Imitation des vers de Bérénice parlant de Titue : En quelqu'obscurité que le ciel l'eût fait naître, Le monde , en le voyant, eût reconnu son maître. Pendant la plus grande partie du règne de la reine, la galaaQuelle était, je le répète... | |
| Voltaire - 1822 - 500 pages
...consuls , ce sénat , Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat, eteV. Si. En quelque obscurité que le ciel l'eût fait naître , Le monde , en le voyant , eût reconnn son maître ; Un homme sans goût a traité cet éloge de flatterie ; il n'a pas songe que... | |
| Nicolas Louis Achaintre - 1825 - 506 pages
...saint respect; l'on ne pouvoit s'empêcher de dire en soi-même , avec Racine : En quelque état obscur que le ciel l'eût fait naître, Le monde, en le voyant, eût reconnu son maître. « Quoiqu'on lui ait reproché, dit un de ses meilleurs historiens, quelques petitesses... | |
| Voltaire - 1826 - 510 pages
...endroit dans sa Bérénice : Parle; peut-on le voir, sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le ciel l'eût fait naître , Le monde en le voyant eût reconnu son maître ? C'est là que l'on voit l'homme de goût, l'écrivain aussi délicat qu'élégant ; il... | |
| Voltaire - 1829 - 452 pages
...consul, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat , etc. V. 3 i • En quelque obscurité que le ciel l'eût fait naître , Le monde , en le voyant , eût reconnu son maître. Un homme sans goût a traité cet éloge de flatterie ; il n'a pas songé que c'est une... | |
| Voltaire (pseud. van François-Marie Arouet) - 1829 - 552 pages
...endroit dans sa Bérénicc ' : Parle ; peut-on le voir sans penser comme moi , Qu'en quelque obscurité que le ciel l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître? C'est là qu'on voit l'homme de goût et l'écrivain aussi délicat qu'élégant; il fait... | |
| Etienne-Léon baron de Lamothe-Langon - France - 1836 - 408 pages
...lui en un mot qu'on pouvait appliquer ces vers de Racine, dans Bérénice : Dans quelque état obscur que le Ciel l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maltre. La couronne lui manquait, il est vrai, mais enfin il s'en montrait digne; d'ailleurs, lui... | |
| Gustave Le Vavasseur - 1843 - 488 pages
...de la Bérénice de Racine : Parle , peut-on le voir, sans penser comme moi Qu'en quelque obscurité que le ciel l'eût fait naître, Le monde , en le voyant , eût reconnu son maître. Comme d'ordinaire, Voltaire donne ici l'avantage à Racine, et dit : « C'est là qu'on... | |
| Paul duc de Noailles - France - 1848 - 618 pages
...République. * Mémoires de Saint-Simon, tome XIII, chapitre ilr. page 3. Dans quelque état obscur que le ciel l'eût fait naître, Le monde, en le voyant, eût reconnu son maître1. « Mais cette majesté n'avait rien de farouche, malgré son air grand et auguste qui... | |
| Arsène Houssaye - France - 1860 - 460 pages
...parlement, il était toujours le roi. Comme a si bien dit Racine dans Bérénicf. : En quelque obscurité que le ciel l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnut son maître*. De toutes ces fêtes, le peuple avait les miettes de la table. S'il y avait... | |
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