| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - France - 1861 - 520 pages
...vinrent me prendre au sortir du bateau, lundi; je soupai chez eux, j'y dînai hier; on me promène, on me montre; je recois mille civilités, j'en suis honteuse ; je ne sais ce qu'on 1. Thérèse Adhémar de Monteil, sœur de M. de Grignan. 2. M. son oncle. (Éd. de 1734.) 3. M. Du... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - France - 1861 - 536 pages
...vinrent me prendre au sortir du bateau, lundi; je soupai chez eux, j'y dînai hier; on me promène, on me montre; je recois mille civilités, j'en suis honteuse ; je ne sais ce qu'on * 1. Thérèse Adhémar de Monteil, sœur de M. de Grignan. 2. M. son oncle. (Éd. de 1734.) 3. M.... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - Authors, French - 1862 - 568 pages
...Coulanges ; je soupai chez eux ; hier j'y dînai; on me promène, on me montre; je reçois mille amitiés; j'en suis honteuse; je ne sais ce qu'on a à me tant estimer. Je voulois partir demain ; Mme de Coulanges a voulu encore un jour, et a mis à ce prix son voyage... | |
| René Vallery-Radot - Authors, French - 1888 - 338 pages
...la montrèrent. « Je reçois mille amitiés, écrit à sa fille Mme de Sévigné, redevenue gaie, j'en suis honteuse ; je ne sais ce qu'on a à me tant estimer. Je voulais partir demain ; Mme de Coulanges a voulu encore un jour, et a mis à ce prix son voyage... | |
| Lyon (France) - 1889 - 498 pages
...demeura à Lyon. Elle écrit à sa fille : « On « me promène, on me montre. Je reçois mille amitiés. J'en « suis honteuse. Je ne sais ce qu'on a à me tant estimer. » Mme de Sévigné était alors âgée de 46 ans. Elle était dans tout l'éclat de sa réputation... | |
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