| Philosophy - 1891 - 644 pages
...être n'était pas tout parfait, » car je voyais clairement que c'était une plus grande perfec» tion de connaître que de douter, je m'avisai de chercher...j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait » que je n'étais, et je connus évidemment que ce devait être » de quelque nature qui fût... | |
| Abraham Netter - 1896 - 52 pages
...réflexion sur ce que je doutais, et que, par consé« quent, mon être n'était pas tout parfait, je m'avisai de « chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose « de plus parfait que je n'étais, et je connus évidemment « que ce devait être de quelque nature qui fût,... | |
| Académie de Stanislas (Nancy, France) - 1896 - 998 pages
...réflexion sur ce que je doutais, et que, par consé« quenl, mon être n'était pas tout parfait, je m'avisai de « chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose « de plus parfait que je n'étais, et je connus évidemment « que ce devait être de quelque nature qui fût,... | |
| Alfred Fouillée - Philosophy - 1899 - 616 pages
...parfait. Faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon être n'était pas tout parfait, car je voyais clairement que c'était une...j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais ; et je connus évidemment que ce devait être de quelque nature qui fût,... | |
| Frederick Morris Warren - French language - 1899 - 358 pages
...réflexion sur ce que je doutais, et \ que par conséquent mon être n'était pas tout parfait, car je 30 voyais clairement que c'était une plus grande perfection...j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais, et je connus évidemment que ce devait être de quelque nature qui fût en... | |
| 1903 - 676 pages
...conséquent, mon être n'était pas tout parfait, car je %royais clairement que c'était une plusgrande perfection de connaître que de douter, je m'avisai...j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais, et je connus évidemment que ce devait être de quelque nature qui fût en... | |
| Denys Cochin - 1913 - 294 pages
...debout au milieu des ruines du monde. Il s'est dit ensuite : « Je doutais, et par conséquent mon être n'était pas parfait. Car je voyais clairement...plus grande perfection de connaître que de douter 1 . » Ainsi sa raison convaincue de sa propre faiblesse, a besoin de l'idée de l'Être parfait ;... | |
| Denys Cochin - 1913 - 298 pages
...debout au milieu des ruines du monde. Il s'est dit ensuite : « Je doutais, et par conséquent mon être n'était pas parfait. Car je voyais clairement...c'était une plus grande perfection de connaître que de douter1. » Ainsi sa raison convaincue de sa propre faiblesse, a besoin de l'idée de l'Être parfait;... | |
| Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 400 pages
...quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon être n'était pas tout parfait, car je voyais clairement que c'était une...perfection de connaître que de douter, je m'avisai de cher- 20 cher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais, et je... | |
| Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 408 pages
...réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon être n'était pas tout parfait, car\je voyais clairement que c'était une plus grande perfection de connaître que de douter, je m'avisai de cher- 20 cher dVù. j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais, et je... | |
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