En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Oeuvres de Boileau-Despréaux - Page 160by Nicolas Boileau Despréaux - 1821Full view - About this book
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1870
...(Éeott daltmmes, acte V, scène n.) 6. Un Suisse, de Murait, mort en 17ôO, trouve cette expression |HMI C'est encor pis vingt fois en quittant la maison :...peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. L'un nie heurte d'un ais dont je suis tout froissé;1 Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là,... | |
 | Bescherelle (M., Louis Nicolas) - French language - 1871 - 878 pages
...yeux. (FÉsEtos.) En disant ces paroles, SON regard était farouche et ses yeux éiiucelanls. (Id.\ Mais si seul en mon lit je peste avec raison. C'est encor pis cent fois en quittant la maison. (llOILEAf.) En vnyant les hommes, hélas ! 11 m'en souvient bien davantage.... | |
 | Louis Pujol - French language - 1873 - 540 pages
...des vents 86 Encor je bénirai»3 la bonté souveraine Si le ciel à ces maux avait borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison, C'est encor pis vingt fois en quittant la maison: 80 En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent*... | |
 | Carl Adolf Buchheim - 1873
...C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : En quelque4 endroit que j'aille, il faut fendre la D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse....L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé ; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Des paveurs en ce lieu me bouchent le passage; Là... | |
 | François Noel - French - 1873 - 193 pages
...Sous le règne de Tarquin le Superbe, la totalité des sénateurs furent massacré» ou exilés. 81. En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmille sans cesse. 82. Hérophile, philosophe grec, ainsi que Descartes, ' plaçaient l'âme dans... | |
 | Emil Pfundheller - 1875
...les vivants. Encor je bénirais la bonté souveraine. Si le ciel à ces maux avait borné ma peine; Mais -si seul en mon lit je peste avec raison, C'est...L'un me heurte d'un ais, dont je suis tout froissé; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là, d'un enterrement la funèbre ordonnance D'un pas... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - French poetry - 1876
...mourir les vivans. Encor je benirois la bonté souveraine, Si le ciel à ces maux avoit borné ma peine; Mais si, seul en mon lit, je peste avec raison, C'est...L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé ; Je vois d'un autre coup mon chappeau renversé. Là, d'un enterrement la funebre ordonnance D'un... | |
 | Jacques Claude Demogeot - French literature - 1878 - 249 pages
...les vivants. Encor je bénirois la bonté souveraine, Si le ciel à ces maux avoit borné ma peine ; Mais si seul en mon lit je peste avec raison, C'est...L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé ; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là d'un enterrement la funèbre ordonnance D'un pas... | |
 | P. L. Jacob - Cries - 1878 - 429 pages
...les vivants. Encor, je benirois la Bonté souveraine, Si le Ciel à ces maux avoit borné ma peine. Mais, si seul en mon lit je peste avec raison, C'est...la maison. En quelque endroit que j'aille, il faut fendrela presse3 D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse: L'un me heurte d'un ais, dont... | |
 | George Eugène Fasnacht - 1880
...vivants. Encor je bénirais la bonté souveraine, 35 Si le ciel à ces maux avait borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison, C'est...L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là d'un enterrement la funèbre ordonnance 5 D'un pas... | |
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