| Philosophy - 1914 - 690 pages
...établis entre les passages de la 6e partie où Descartes parle de la possibilité de s'exempter « d'une infinité de maladies tant du corps que de l'esprit,...aussi peut-être de l'affaiblissement de la vieillesse », et le De relardandis senectutis accidentibus et de sensibus conservandis de Roger Bacon, qui avait... | |
| Hubert Gillot - Authors, French - 1914 - 648 pages
...médecine) n'est presque rien, à comparaison de ce qui reste à y sçavoir, et qu'on se pourroit exemter d'une infinité de maladies, tant du corps que de l'esprit, et même aussi peutestre de l'affbiblissement de la vieillesse, si on avoit assez de connoissance de leurs causes,... | |
| Albert Cim - Errors and blunders, Literary - 1921 - 300 pages
...qu'on y sait (en médecine) n'est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir l ; et on se pourrait exempter d'une infinité de maladies tant...de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus. (Ouvrage cité, p. 54-55.) « ... H me semble voir très évidemment que si nous nous gardions seulement... | |
| Dominique Parodi - Ethics - 1921 - 326 pages
...biens de cette vie » ; où il prévoit « qu'on se pourrait exempter d'une infinité de mala dies, tant du corps que de l'esprit, et même aussi peut-être...de l'affaiblissement de la vieillesse, si on avait asse/ de connaissance de leurs causes et de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus ». On... | |
| Louis Launay - 1923 - 140 pages
...chercher.... Tout ce qu'on y sait n'est presque rien... et on se pourrait exempter d'une infinité de maladies et même aussi peut-être de l'affaiblissement de la vieillesse, si on avait assez connaissance de leurs causes.... Or, ayant dessein d'employer toute ma vie à la recherche d'une science... | |
| Henri Gouhier - Faith and reason - 1924 - 348 pages
...que tout ce qu'on y sait n'est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir; et qu'on se pourrait exempter d'une infinité de maladies, tant...me semble tel qu'on doit infailliblement la trouver en le suivant, si ce n'est qu'on en soit empêché, ou par k brièveté de la vie, ou par le défaut... | |
| Henri Gouhier - Faith and reason - 1924 - 352 pages
...que tout ce qu'on y sait n'est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir; et qu'on se pourrait exempter d'une infinité de maladies, tant...leurs causes et de tous les remèdes dont la nature noue a pourvus. Or, ayant dessein d'employer toute ma vie à la recherche d'une science si nécessaire,... | |
| René Descartes, Étienne Gilson - Science - 1925 - 530 pages
...tout ce qu'on y sait n'est presque rien, à 25 comparaison de ce qui reste à y savoir, et qu'on se pourrait exempter d'une infinité de maladies, tant...connaissance de leurs causes, et de tous les remèdes dont 30 la nature nous a pourvus. Or, ayant dessein d'employer toute ma vie à la recherche d'une science... | |
| René Descartes, Etienne Gilson - Philosophy - 1984 - 148 pages
...la médecine à la morale dans son Traité des Passions ( 1 649). 3. C'est-à-dire : s'affranchir. d'une infinité de maladies, tant du corps que de...dont la nature nous a pourvus ' . Or, ayant dessein 63 d'emlployer toute ma vie à la recherche d' une science si nécessaire, et ayant rencontré un chemin... | |
| René Descartes, Jean-Luc Marion, Pierre Costabel - History - 1977 - 378 pages
...double chemin». - Chemin, et non pas voie (absent de DM), conformément à DM 63, 1-3, «. . . employer toute ma vie à la recherche d'une science si nécessaire,...semble tel qu'on doit infailliblement la trouver». Voir aussi DM 3, 4-5; 2, 18; 4, i; 8, 10; 10, 30; 14, 21; 15, 23; 23, 29; 28, 2; 59. 23. Ce dédoublement... | |
| |