| Charles Bossut - Astronomy - 1802 - 438 pages
...voyons du monde n'est qu'un trait. imper» ceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle » idée n'approche de l'étendue de ses espaces; nous » avons beau enfler nos conceptions , nous n'en» fantons que des atomes , au prix de la réalité des » choses. C'est une sphère infinie ,... | |
| Charles Rollin - Education - 1805 - 796 pages
...que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein delà nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons...c'est un des .plus grands caractères sensibles de la toule-puissance de Dieu , que notre imagination se perde danscelle pensée. Que l'homme étant revenu... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature : nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons...choses. C'est une sphère infinie , dont le centre estpar-tout , la circonférence nulle part. Enfin, c'est un des plus grands caractères sensibles de... | |
| 1798 - 448 pages
...voyons '» du monde n'est •qu'un trait imperceptible dans l'ample >i sein de la nature : nulle idée n'approche de l'étendue de » ses espaces : nous..., » nous n'enfantons que des atomes au prix de la réa» lité des choses : c'est un cercle infini dont le centre est » par - tout , et la circonférence... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - Rhetoric - 1809 - 598 pages
...que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature ; nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces : nous avons...atomes , au prix de la réalité des choses ; c'est un cercle infini dont le centre est par-tout , et la circonférence nulle part. «(PASCAL.) On cite... | |
| Charles Rollin - Education - 1810 - 576 pages
...que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons...nulle part. Enfin c'est un des plus grands caractères sensiblesdela toutepuissance de Dieu, que notre imagination se perde dans cette pensée. Quel'homme,... | |
| 1811 - 632 pages
...de la nature. Nous )> avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons » que des atomes auprès de la réalité des choses. C'est » une sphère infinie dont le centre est par-tout , la cir» conférence nulle part. » Cependant la plupart des auteurs de nos jours qui ont écrit sur l'existence... | |
| 1811 - 638 pages
...Nous « avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons » que des atomes auprès de la réalilé des choses. C'est » une. sphère infinie dont le centre est par-tout , la cir» conférence nulle part. » Cependant la plupart des auteurs de nos jours qui ont écrit sur l'existence... | |
| Blaise Pascal - 1812 - 334 pages
...que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l 'ample sein de In nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons...c'est un des plus grands caractères sensibles de la toute-puiiâance de Dieu , que notre imagination ic perde dans cette pensée. Que l'homme, étant revenu... | |
| Charles Nodier - Books - 1812 - 602 pages
...qu'elles sont justes, obéit à la justice qu'il imagine , mais non pas à l'essence 1 de la loi. PASCAL. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons...centre est partout, la circonférence nulle part. (J Je donnerai deux de ces pastiches, non comme les meilleurs d'un homme d'esprit, qui est réellement... | |
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