| Noël Valois - Biography & Autobiography - 1880 - 440 pages
...se sert le plus aujourd'hui, pour prouver la spiritualité de l'âme. Guillaume le connaissait 1. « Puis, examinant avec attention ce que j'étais et...ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais feindre pour cela que je n'étais point,... je connus de là que j'étais une substance dont toute... | |
| Noël Valois - Biography & Autobiography - 1880 - 416 pages
...aujourd'hui, pour prouver la spiritualité de l'âme. Guillaume le connaissait 1. a Puis, examinant a^ec attention ce que j'étais et voyant que je pouvais...ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais feindre pour cela que je n'étais point,... je connus de là que j'étais une substance dont toute... | |
| Philosophy - 1881 - 860 pages
...je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. « Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et...que je pensais à douter de la vérité des autres choses, il suivait très évidemment et très certainement que j'étais; au lieu que si j'eusse seulement... | |
| René Descartes - Science - 1881 - 192 pages
...je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la Philosophie que je cherchais-. Puis examinant avec attention ce que j'étais, et...que je pensais à douter de la vérité des autres choses (sire quidlibet aliud cogitarem) il suivait très évidemment et très certainement que j'étais... | |
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1885 - 180 pages
...n'est pas tellement infaillible, que je n'aie quelque sujet d'en douter, à cause qu'il se peut 1. « Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et...que je pensais à douter de la vérité des autres choses, il suivait très évidemment et très certainement que j'étais : au lieu que si j'eusse seulement... | |
| René Descartes - 1886 - 140 pages
...que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et...que je pensais à douter de la vérité des autres choses, il suivait très-évidemment et très-certainement que j'étais ; au lieu que, si j'eusse seulement... | |
| E. Pluzanski - 1887 - 316 pages
...affîrmaret se esse, p. 134. Cf. Descartes : « Voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps... mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point... » (Disc, de laMéth. 4« part,). Si saint Thomas reconnaît que l'âme se sait exister par la conscience... | |
| Émile Claude Armand Pluzanski de Radwan - 1888 - 320 pages
...affîrmaret se esse, p. 134. Cf. Descartes : « Voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps... mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point... » (Disc, de la Méth. 4« part.). Si saint Thomas reconnaît que l'âme se sait exister par la conscience... | |
| Paul Albert - French literature - 1892 - 484 pages
...pouvais la recevoir sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Puis en examinant avec attention ce que j'étais, et voyant...que je pensais à douter de la vérité des autres choses, il suivait très-évidemment et très-certainement que j'étais; au lieu que si j'eusse seulement... | |
| Alcée Fortier - French literature - 1892 - 376 pages
...vérité : je pense, donc je suis; et dit : " Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et royant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps...que je pensais à douter de la vérité des autres choses, il suivait très évidemment et très certainement que j'étais; au lieu que, si j'eusse seulement... | |
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