 | J. Millet - Philosophy, Modern - 1867 - 540 pages
...monde, ni aucun lieu où je fusse , mais que » je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'éo tais point ; et qu'au contraire de cela même que » je pensais à douter de la vérité des autres choses, » il suivait très-évidemment et très-certainement » que j'étais, au lieu que si j'eusse... | |
 | J. Millet - 1867 - 548 pages
...monde, ni aucun lieu où je fusse, mais que » je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'é» tais point ; et qu'au contraire de cela même que » je pensais à douter de la vérité des autres choses, » il suivait très-évidemment et très-certainement » que j'étais, au lieu que si j'eusse... | |
 | E. A. Berthault - Huguenots - 1875 - 348 pages
...justesse de cette remarque, il suifît de rappeler ici le passage suivant du Discours de la méthode : « Examinant avec attention ce que j'étais, et voyant...pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser,... | |
 | René Descartes - Philosophy - 1876 - 466 pages
...n'avois aucun corps et qu'il n'y avoit aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvois pas feindre pour cela que je n'étais point, et qu'au contraire, de cela même que je pensois à douter de la vérité des autres choses, il suivoit très-évidemment et très-certainement... | |
 | René Descartes - Philosophy, Modern - 1877 - 400 pages
...scrupule pour le premier principe de laphilosophiequeje cherchais 1 . Puis, examinant avecattention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre...que je pensais à douter de la vérité des autres choses* il suivait très-évidemment et très-certîiinement que j'étais; au lieu que si j'eusse cessé... | |
 | Paul Albert - French literature - 1878 - 484 pages
...pouvais la recevoir sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Puis eu examinant avec attention ce que j'étais, et voyant...et qu'au contraire, de cela même que je pensais à clouter de la vérité des autres choses, il suivait très-évidemment et très-certainement que j'étais... | |
 | René Descartes - Science - 1878 - 104 pages
...pouvais la recevoir sans scrujnile pourne 'premier principe de la philosophie quê^ je cherchais1._ Puis examinant avec attention ce que j'étais, et...feindre pour cela que je n'étais point, et. qu'au contraire.de cela mêqae que je•pensais à douter de la vérité des autres chitsas. Il SUlvaijtrès-fiVi'rlprriiv-pr... | |
 | Paul Albert - French literature - 1878 - 482 pages
...en examinant avec attention ce qin j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucui corps, et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je f usst mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étai point, et qu'au contraire, de cela... | |
 | René Descartes - Philosophy - 1879 - 632 pages
...je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais '. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que jen'avais aucun corps, et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse , mais que je ne pouvais... | |
 | René Descartes - Philosophy, French - 1880 - 326 pages
...que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et...que je pensais à douter de la vérité des autres choses , il suivait très-évidemment et très-certainement que j'étais; au lieu que , si j'eusse... | |
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Puis examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point... 
