...quatrième partie.) (2) « C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant appelées ni par leur...toujours en idée quelque nouvelle réformation, et si je pi'ns'iis qu'il y eût la moindre chose en cet écrit par laquelle dans l'ensemble de sa philosophie...

...parlant des perturbateurs du repos public, * Je ne saurais aucunement approuver ce-. bumeurs brouillonnes et inquiètes qui , n'étant appelées ni par leur...laissent pas d'y faire toujours en idée quelque nouvelle reformation. » DE*C. « Les décemvirs menacèrent Fabius de le faire précipiter du liant de la rocbe...

...bâtir dans un fonds qui est tout à moi. Je ne saurais nullement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant appelées ni par leur...des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire en idée toujours quelque réformation... Pour l'imperfection des sociétés, elles sont quasi toujours...

...approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant appelées ni par leur naissance ni parleur fortune au. maniement des affaires publiques, ne laissent...toujours en idée quelque nouvelle réformation, et si je pcr.siis qu'il y eût la moindre chose en cet écrit par laquelle dans l'ensemble de sa philosophie...

...Discours de la methode, %° partie: « Je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant appelées ni par leur...faire toujours en idée quelque nouvelle réformation. » 3 On chercherait en vain ce rapide ensemble d'idées dans La Bruyère; mais on en retrouve quelques-unes...

...écrit. Il proteste qu'il ne s'occupera pas de politique, «n'étant pasde ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant appelées ni par leur...faire toujours en idée quelque nouvelle réformation. » Il ne cesse de proclamer son attachement à la religion. « Je suis, répond-il à ceux qui l'interrogent,...

...tout qu'on ne le confonde « avec ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant pasappelées ni par leur naissance, ni par leur fortune au maniement...des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire en idée quelque nouvelle réformation, et si je pensais qu'il y eut la moindre chose en cet écrit...

...l'ordre politique. Aussi prend-il soin de nous avertir « qu'il n'est pas de ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant appelées ni par leur naissance, ni par leur fortune, au maniement des a fia ires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours en idée quelque nouvelle réformation. »...

...toujours, en idée, quelque nouvelle réformation; et si je pensois qu'il y eût la moindre chose eil cet écrit par laquelle on me pût soupçonner de cette folie, je sérois très-marri de souffrir qu'il fût publié. Jamais mon dessein ne s'est étendu plus avant...

...risque de le bouleverser : « Je ne saurais, dit-il, aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées ni par leur...serais très-marri de souffrir qu'il fût publié. Jumais mon dessein ne s'est étendu plus avant que de tâcher à réformer mes propres pensées, et...