 | Eugène Crépet - French poetry - 1887
...rivière. » Voilà comme on vous traite : et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain quelque rieur, prenant votre défense, Veut...Vous ferez-vous toujours des affaires nouvelles? Et faudra-l-il sans cesse essuyer des querelles? N'enlendrai-je qu'auteurs se plaindre et murmurer? Jusqu'à... | |
 | Jacques Demogeot - French literature - 1889 - 559 pages
...rivière 2. Voilà comme on vous traite : et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain quelque rieur, prenant votre défense, Veut...Rien n'apaise un lecteur toujours tremblant d'effroi, L- 11 applique à Paris ce qu'il a lu de Home. Ce qu'il dit en français il le doit au latin. (Cotin,... | |
 | Alphonse Dufour - French language - 1892 - 293 pages
...monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain quelque rieur, prenant votre defense, Veut faire au moins, de grâce, adoucir la sentence...Vous ferez-vous toujours des affaires nouvelles,, Et faudra- t-il sans cesse essuyer des querelles? N'entendrai-je qu'auteurs se plaindre et murmurer? Jusqu'à... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1892
...rieur, prenant vostre défense, Veut faire au moins de grâce adoucir la sentence : Rien n'appaise un lecteur toujours tremblant d'effroi, Qui voit peindre...nouvelles, Et faudra-t-il sans cesse essuyer des querelles ? N'entendrai-je qu'auteurs se plaindre et murmurer? Jusqu'à quand vos fureurs doivent-elles durer?... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1894 - 278 pages
...rivière. Voilà comme on vous traite : et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain quelque rieur, prenant votre défense, Veut...? Et faudra-t-il sans cesse essuyer des querelles ? N'entendrai- je qu'auteurs se plaindre et murmurer ? Jusqu'à quand vos fureurs doivent-elles durer... | |
 | Carl Ploetz, Karl Ploetz - French literature - 1894 - 784 pages
...effet reproché à Boileau de n'être qu'un gueiu; revêtu d<m !»KilUa d'Horace et de Juvéual." AMAK. En vain quelque rieur, prenant votre défense, Veut...sentence; Rien n'apaise un lecteur toujours tremblant d'eftroi. Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque en soi. La satire, ditron, est un métier funeste... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1895 - 298 pages
...rivière5. » Voilà comme on vous traite; et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain, quelque rieur, prenant votre défense, Veut...faire au moins, de grâce, adoucir la sentence.... 140 Rien n'apaise un lecteur toujours tremblant d'elFroi, Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1898 - 327 pages
...rivière3. » Voilà comme on vous traite : et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. En vain quelque rieur, prenant votre défense, Veut...sentence * : Rien n'apaise un lecteur toujours tremblant d'etïroi, Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarque en soi. Vous ferez-vous toujours des affaires... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1889 - 542 pages
...dépouilles d'Horace, de Juvénal et de Régnier. B. Qui voit peindre en autrui ce qu'il remarqué en soi. Vous ferez-vous toujours des affaires nouvelles? Et faudra-t-il sans cesse essuyer des querelles? N'entendrai-je qu'auteurs se plaindre et murmurer? Jusqu'à quand vos fureurs doivent-elles durer?... | |
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