| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1914 - 364 pages
...Le fils méconnaît 20 le portrait de sa mère, tant l'habit avec lequel elle est peinte lui paraît étranger; il s'imagine que c'est quelque Américaine...exprimer quelqu'une de ses fantaisies. Quelquefois, les coiffures montent insensiblement, et une révolution les fait descendre tout à coup. Il a été un... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1921 - 456 pages
...passe de La Bruyère à Montesquieu ; chez ce dernier, il ya quelque peu de « gasconhade », sentée, ou que le peintre a voulu exprimer quelqu'une de ses fantaisies. Quelquefois les coiffures montent insensiblement, et une révolution les fait descendre tout à coupi. Il a été un... | |
| Edmond Estève, E. Guirand - French literature - 1922 - 440 pages
...l'habit avec lequel elle est peinte lui paraît étranger; il s'imagine que c'est quelque Américaine (3) qui y est représentée, ou que le peintre a voulu...exprimer 'quelqu'une de ses fantaisies. Quelquefois les coiffures montent insensiblement et une révolution les fait descendre tout à coup. Il a été un... | |
| Arthur Lytton Sells - Comparative literature - 1924 - 254 pages
...ouvriers ; et, avant que tu eusses reçu ma lettre, tout serait changé... Quelquefois les coiffures montent insensiblement, et une révolution les fait...coup. Il a été un temps que leur hauteur immense mettait le visage d'une femme au-milieu d'elle-même ; dans un autre, c'était les pieds qui occupaient... | |
| Hélène Cattanès - French language - 1925 - 294 pages
...ans. Le fils méconnaît le portrait de sa mère, tant l'habit avec lequel elle est peinte lui paraît étranger, il s'imagine que c'est quelque Américaine...exprimer quelqu'une de ses fantaisies. Quelquefois les coiffures montent insensiblement, et une révolution les fait descendre tout à coup. B a été un... | |
| Marcel Braunschvig - French literature - 1926 - 864 pages
...homme n'a été tant vu que moi. » du caprice des modes féminines : « Quelquefois les coiffures montent insensiblement, et une révolution les fait...coup. Il a été un temps que leur hauteur immense mettait le visage d'une femme au milieu d'elle-même ; dans un autre, c'étaient les pieds qui occupaient... | |
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