| Voltaire - 1792 - 522 pages
...clartés des chrétiens fi fon ame eft ouverte, Zamore eft votre fils , & répare ma perte. ZAMOR E. Je demeure immobile, égaré , confondu ; Quoi donc ,...de vertu ! Ah ! la loi qui t'oblige à cet effort fuprême , Je commence à le croire , eft la loi d'un Dieu même. J'ai connu l'amitié , la conftance... | |
| François Moysant - 1803 - 438 pages
...détruits rétablissant la gloire, f)e mou nom, s'il se peut, bénissez la mémoire, {A Alvarez) ZAMORE Je demeure immobile, égaré, confondu : Quoi donc ! les vrais chrétiens auraient tant de vertu î Ah! la loi qui t'oblige à cet effort suprême, Je commence à le croire, est la loi de Dieu même.... | |
| Jean-François de La Harpe - Classical literature - 1798 - 472 pages
...morale chrétienne. N'estce pas Voltaire qui avait fait dire à Zamore quand Gusman lui pardonne : ' Quoi donc ! les vrais Chrétiens auraient tant de...commence à le croire, est la loi d'un dieu même. Certes, c'était une étrange et honteuse inconséquence de calomnier un moment après cette même... | |
| Voltaire - 1809 - 500 pages
...clartés des chrétiens si son Sme est ouverte, Zamore est votre fils, et répare ma perte. ZAMORE. Je demeure immobile, égaré, confondu; Quoi donc, les...l'amitié, la constance, la foi ; Mais tant de grandeur d'âme est au-dessus de moi : Tant de vertu m'accable, et son charme m'attire. Honteux d'être vengé,... | |
| Jean-François de La Harpe - Classical literature - 1813 - 404 pages
...qui avait fait dire à Zamore quand Gusman lui pardonne : Quoi donc! les vrais Chrétiens .inmii-nf tant de vertu ,' Ah ! la loi qui t'oblige à cet effort suprême. J* commence à le croire, est la loi d'uo Dieu mèiuc> Certes, c'était une étrange et honteuse inconséquence... | |
| Voltaire - 1816 - 372 pages
...chrétiens si son âme est ouverte , Zamore est votre fils , et répare ma perte. 7. AM on E. Je deflïeure immobile , égaré , confondu. Quoi donc, les vrais...de vertu ! Ah ! la loi qui t'oblige à cet effort sup>ême , Je commence à le croire , est la loi d'un Dieu mémo. J'ai connu l'amitié , la constance... | |
| Voltaire - 1816 - 366 pages
...clartés des chrétiens si son âme est ouverte , Zamore est votre fils , et répare ma perte. ZAMORE. Je demeure immobile, égaré, confondu. Quoi donc , les vrais chrétiens auraient tant de venu ! Ah ! la loi qui t'oblige à cet c9brt suprême , Je commence h le croire , est la loi d'un Dieu... | |
| Voltaire - 1819 - 654 pages
...clartés des chrétiens si son âme est ouverte , Zamore est votre fils , et répare ma perte. ZAMORE. Je demeure immobile, égaré, confondu; Quoi donc, les...l'amitié, la constance, la foi; Mais tant de grandeur d'âme est au-dessus de moi : Tant de vertu m'accable, et son charme m'attire. Honteux d'être vengé,... | |
| Voltaire - 1821 - 378 pages
...des chrétiens si son ame est ouverte , Zamore est votre fils , et répare ma perte. z AM o H E. le demeure immobile , égaré , confondu. Quoi donc ,...le croire , est la loi d'un Dieu même. J'ai connu Vamitié , la constance , la foi ; Mais tant de grandeur d'ame est au-dessus de moi ; Tant de vertu... | |
| Jean-François de La Harpe - Bible - 1821 - 442 pages
...morale chrétienne. N'est-ce pas Voltaire qui avait fait dire à Zamore , quand Gusman lui pardonne : Quoi donc! les vrais chrétiens auraient tant de vertu...commence à le croire, est la loi d'un Dieu même. Certes, c'était une étrange et honteuse inconséquence de calomnier un moment après cette même... | |
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