LE premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire -ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Œuvres: Discours - Page 268by Jean-Jacques Rousseau - 1817Full view - About this book
| Henri Martin (historien français) - 1860 - 692 pages
...conjecturale de la civilisation et de l'inégalité est l'objet de la seconde partie du Discours. * Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est a moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.... | |
| Bibliography - 1860 - 980 pages
...» (Quoi ! ne vois-tu pas que les besoins mutuels ont tout fait?) Page 95 (seconde partie)- c .... Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est a moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.... | |
| Démonstrations - 1862 - 690 pages
...longenvahissemeol, par quelques-uns, de la terre, demeure de l'Immunité et son inipartageable domaine? « Le premier qui, « ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : « ceci est a moi, et trouva des gens assez « simples pour le croire, fut le vrai fonda« leur de la société... | |
| Justin Jacquinot - 1863 - 146 pages
...domestique, la différence d'homme à homme doit être plus grande encore que celle de bête à bête. — Le premier qui , ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est à moi, fut le vrai fondateur de la société civile (1). » Rousseau prend toujours le sauvage pour l'homme... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1865 - 446 pages
...déterminer les faits semblables qui peuvent les lier ; enfin , sur ce qu'en matière d'événemens, la similitude réduit les faits à un beaucoup plus...nombre de classes différentes qu'on ne se l'imagine. 11 me suffit d'offrir ces objets à la considération de mes juges; il me suffit d'avoir fait en sorte... | |
| Eugène Henriot - Latin poetry - 1865 - 630 pages
...des terrains usurpés, par application delà maxime primo occupanli. Le premier, dit J.-J. Rousseau, qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire : « Ceci est à moi» , fut le vrai fondateur de la propriété pritéc. Suivant Ovide, c'est au siècle de fer qu'un cauteleux... | |
| Eugène Henriot - Latin literature - 1865 - 634 pages
...des terrains usurpés, par application de la maxime primo occupant». Le premier, dit J.-J. Rousseau, qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire : « Ceci est à moi» , fut le vrai fondateur de la propriété priféc. Suivant Ovide, c'est au siècle de fer qu'un cauteleux... | |
| Ambroise Clément - 1867 - 636 pages
...faudrait alors se hâter de proscrire la propriété individuelle, et de s'unir à Rousseau pour maudire o le premier qui, ayant » enclos un terrain, s'avisa de dire : ceci est à moi? ' » Et si, au contraire, la communauté des biens est aujourd'hui rejetée par tous les esprits éclairés,... | |
| Joseph Marie comte de Maistre, Charles de Maistre - Constitutional history - 1870 - 582 pages
...et les horreurs de toute espèce qui accablent le genre humain sont l'ouvrage du premier audacieux qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire : Ceci est à moi *. La tyrannie et tous les maux qu'elle enfante n'ont pas d'autre source. En effet , « quelles pourraient... | |
| comte Joseph Marie de Maistre - 1870 - 578 pages
...et les horreurs de toute espèce qui accablent le genre humain sont l'ouvrage du premier audacieux qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire : Ceci est à moi *. La tyrannie et tous les maux qu'elle enfante n'ont pas d'autre source. En effet , « quelles pourraient... | |
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