| Charles Antoine Gidel - French literature - 1883 - 546 pages
...déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à son gré cent fois préférables à tout ce qu'il avait trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Autre mérite non moins rare : Jean-Jacques nous a rappelés à la contemplation des eaux; des champs,... | |
| Jacques Demogeot - French literature - 1886 - 566 pages
...bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé jni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais... | |
| Auguste Dide - France - 1887 - 374 pages
...bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...rêveries confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir un objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables... | |
| Louis Ducros - 1888 - 252 pages
...le bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller dériver lentement au gré de Peau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1849 - 396 pages
...bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et lériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé dt. plus... | |
| Henri Beaudouin - 1891 - 656 pages
...bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être, à mon gré, cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus... | |
| Ludwig Herrig - French literature - 1891 - 716 pages
...bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien détermine ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que... | |
| Henri Beaudouin - 1891 - 648 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être, à mon gré, cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent, averti par le baisser... | |
| Portuguese literature - 1898 - 536 pages
...bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien Reiut abstraites, ne sauraient produire le sentiment qu'éprouvent ici des hommes ordinaires sans nul... | |
| Émile Faguet - French literature - 1911 - 330 pages
...bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me taissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet déterminé, ni constant, ne laissaient pas d'être, à mon gré, cent fois préférables à tout ce... | |
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