| John T. Scott - Literary Criticism - 2006 - 544 pages
...bateau les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...avoir aucun objet bien déterminé ni constant ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 24 pages
...dé-ri-ver len-te-ment au gré de l'eau, quel-que-fois pen-dant plu-sieurs heu-res, plon-gé dans mile rê-ve-ries confuses mais dé-li-cieuses, et qui sans...au-cun ob-jet bien dé-ter-mi-né ni cons-tant ne lais-saient pas d'être à mon gré cent fois pré-fé-rables à tout ce que j'avais trou-vé de plus... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French language materials - 1926 - 250 pages
...lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses,5 mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas 5 d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus... | |
| French literature - 1904 - 658 pages
...déterminé ni constant, ne laissaient l'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais é de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Sur les bonis du Léman, on dit, je crois, lit/tiftte. \ Souvent, averti par le baisser du soleil de... | |
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